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N1648 Samedi 22 Fvrier 2020 Je Me Persuadais Du Contraire Il Y A Quatre, Cinq Ans. En Fait, Je Voulais

N1648 Samedi 22 Fvrier 2020 Je Me Persuadais Du Contraire Il Y A Quatre, Cinq Ans. En Fait, Je Voulais

N°1648 – Samedi 22 février 2020 « Je me persuadais du contraire il y a quatre, cinq ans. En fait, je voulais me mettre en couple parce que tout le monde, autour de moi, le faisait. À cette époque, et même bien avant, je ne croyais pas les gens quand ils disaient que l’amour, c’était tout pour eux. Je me suis toujours dit qu’ils en faisaient de trop. Je disais souvent à ma maman que je pouvais vivre sans et que c’était le choix que j’avais pris. Elle me disait que je verrais quand je serai grande. Elle avait raison, encore une fois. J’étais jeune et bien loin du compte. Pus, j’ai eu une prise de conscience, il y a quelques mois maintenant. Je l’ai rencontré, nous avons appris à nous connaître et ce soir, je sais que je ne pourrais pas vivre sans lui. [...] Encore un fois, le destin me prouve qu’il ne faut jamais croire que nous ne pouvons pas vivre une belle histoire, que nous ne pouvons pas faire quelque chose, ou dire quelque chose parce que l’on se croit incapable. Il faut se laisser le temps de se faire confiance, le temps d’évoluer et de se faire les armes. Il faut se laisser le temps d’arriver à ce que nous souhaitons. »

Edit : Bientôt cinq ans d'amour et jamais l'un sans l'autre.

  • uneessencesensible
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1 year ago
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.
The Little Demons Of Grief Came To Live With Me, In The Space Between The Shadows And The Floor.

The little demons of grief came to live with me, in the space between the shadows and the floor.

I can't hear what they're telling me, even though I try.

1 year ago

Trad. : Il est facile de se déshabiller et de faire l’amour. Les gens le font tout le temps. Mais ouvrir son âme à quelqu'un, le laisser entrer dans son esprit, ses pensées, ses peurs, son avenir, ses espoirs, ses rêves… c'est ça être nu.

“It’s easy to take off your clothes and have sex. People do it all the time. But opening up your soul to someone, letting them into your spirit, thoughts, fears, future, hopes, dreams… that is being naked.”

— Rob Bell


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1 year ago

Et quand nous serons vieux et tu me demanderas : Comment en sommes-nous arrivés ici? Je vais te répondre : Parce qu'au lieu de crier, on se parlait. Au lieu de fuir, nous cherchions des solutions. Parce que tout et rien ne nous appartenait. Parce que nous pleurions et riions ensemble. Parce qu'un jour, nous avons promis d'être ensemble pour le meilleur ou pour le pire et surtout, parce que l'amour s'est développé avec le temps sous la forme d'un amour qui ne meurt jamais. Voilà comment nous en sommes arrivés là

1 year ago

“You get in life what you have the courage to ask for.”

— Oprah Winfrey

1 year ago

Trente balais, ça se fête, non ?

Trente Balais, A Se Fte, Non ?

La première année où je fais quelque chose pour moi, sans demander mon reste. Sans me poser de questions. C'est peut être con, vu comme ça, mais c'est libérateur de faire des choses seule, sans avoir besoin de qui que ce soit autour de soi. J'aime mes proches plus que tout, mais je n'ai pas besoin d'eux pour sortir désormais. Je me libère peu a peu de ma dépendance affective, de ma peur de ne pas être assez bien. À trente ans, je prends davantage confiance en moi et je suis apaisée d'aimer et d'être aimée. Oui, apaisée. Ce ne sont plus des montagnes russes qui m'accompagnent, tout au long de la journée, mais une paix intérieure qui me permet de vivre sereinement chaque instant seule ou accompagnée. Cela m'a fait peur, quand je m'en suis réellement aperçue, de cette "victoire". Je suis de nature, de base, à ressentir tellement de choses à la fois, de façon démesurée que ce soit le bon comme le mauvais. Cela m'épuisait et j'en avais marre. Mais désormais, c'est de moins en moins le cas. C'est beaucoup pour moi. Je savoure davantage. La thérapeute m'a dit que j'allais être bouleversée encore par cette prise de conscience. C'est vrai. Mais surtout... Je suis fière de moi. Certes, j'y arrive a trente ans. Je vis réellement depuis six, sept ans et j'ai commencé ma thérapie il y a deux ans et demi. Et en deux ans et demi, je suis à a des années lumières de ce que j'étais il y a six, sept ans. Alors rien que ça, et pour une fois, je suis contente de prendre un an de plus. Je passe un cap qui me rend fière.

Mon amour a fait ce qu'il fallait pour que je n'oublie pas ma journee. Rien qu'avoir le petit déjeuner de fait, une bonne journée avec lui, le repas de préparé, c'était déjà très bien. Il a pris sa journée pour moi, et j'étais contente. Un réel amour, même s'il pense le contraire. Il ne se voit pas. Finalement, on est bien fait pour être ensemble. L'un et l'autre, on ne se voit pas tel que nous sommes, mais nous voyons l'autre comme il devrait se voir. On se complète si bien. ❤️


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