
Wattpad ~ Lowen-Colleen Instagram ~ lowen_colleen_ Masterlist : https://at.tumblr.com/moon-girls-stories/masterlist/hd1tygpgrgqi
25 posts
~ The Vampires Diaries ~ Mikaelsons Brother X Sis!Reader
~ The Vampires Diaries ~ Mikaelson’s Brother X Sis!Reader

Synopsis : Tu es la soeur adoptive des Mikaelson. Lors de leur fuite il y a mille ans, tentant d’échapper à Mikael, ils t’ont abandonnés à lui. A présent tu les retrouves à Mystic Falls, le coeur rempli de colère, l’envie de vengeance coulant dans ton sang depuis mille ans. Les rumeurs sur le nouvelle doppelgänger sont aussi revenu à tes oreilles et tu comptes bien faire tout ce qui est en ton pouvoir pour mettre des bâtons dans les roues de ton chère bâtard de frère.
Point de vue omniscient :
-Klaus, calme toi, rappelle toi que nous devons trouver un arrangement sans bain de sang. Rappel Elijah alors qu’il force son jeune frère à se rassoir sur le canapé en cuir marron.
L'hybride émet un sifflement d’agacement avant de se laisser faire. Damon tient fermement le bras de Elena dans sa main, la gardant proche de lui au cas où Klaus décide de rompre leur contrat. Stefan est installé en face de Klaus, un air sérieux plaqué au visage.
Tout d’un coup les portes de la maison Salvatore s’ouvre en grand, laissant apparaître une jeune femme brune tenant fermement la gorge de Matt, prête à lui briser la nuque à tout moment. Stefan se lève rapidement, ne comprenant absolument pas ce qu’il se passe. Damon emmène Elena à vitesse vampirique en dehors de la maison, partant aussi loin qu’il le peut. Il ne sait pas qui elle est mais il ne veut prendre aucun risque avec les originels dans les parages.
La jeune femme relâche le jeune homme et l’hypnotise avant de le faire repartir chez lui. Elle entre sans aucun problème dans la maison avec un grand sourire.
-Asteria. Murmure Klaus entre ses dents alors qu’il se relève à son tour.
-Je t’en prie Eli, toi comme moi savons que cet accoutrement de gentleman n’est qu’un déguisement. Tu es ridicule.
-Cela faisait bien longtemps. Gronde Elijah, ignorant la remarque de sa soeur adoptive.
-Mille ans pour être exact. C’est marrant le destin… Je vous retrouve tous les deux là où vous m’avez abandonné lâchement à Mikael.
-Cela ne s’est pas passé comme ça. Se défend Klaus en avançant d’un pas, visiblement touché par la présence de la jeune femme ainsi que par ses paroles.
Asteria s’approche de Stefan qui plisse les yeux. Elle lui tend sa main qu’il serre, incertain, ne sachant pas comment réagir face à cette femme qu’il ne connaît absolument pas.
-
vikacvik1 liked this · 11 months ago
-
moon-girls-stories liked this · 1 year ago
-
angeldust0753hh liked this · 1 year ago
-
hazashiovo liked this · 1 year ago
-
raemay167 liked this · 1 year ago
-
bloodygraingod liked this · 1 year ago
-
hyperactivewhore liked this · 2 years ago
-
user22sthings reblogged this · 2 years ago
-
user22sthings liked this · 2 years ago
-
daisysolovely liked this · 2 years ago
-
real-neon-angel-gacha liked this · 2 years ago
-
twilight-whoree liked this · 2 years ago
-
4kv4mp liked this · 2 years ago
-
sherlcrown liked this · 2 years ago
-
maverick-wingman liked this · 2 years ago
-
yariany02 liked this · 2 years ago
-
catmikaelson20 liked this · 2 years ago
More Posts from Moon-girls-stories
SCREAM - Billy Loomis X Reader.
Résumé : Maddie est originaire de la petite ville tranquille de Woodsboro. Ayant déménagé pour le travail de son père il y a plusieurs années, elle revient en ville pour ses dernières années d'école. Elle qui pensait retrouver ses amis d'enfance et pouvoir s'éloigner des drames familiaux...
¤ ¤ ¤
Mawen saute à peine de la voiture de son aîné qu'il court déjà en direction de ses amis d'enfance avec qui il avait réussi à reprendre contact quelques mois plus tôt. En revanche Maddie n'avait pas prit autant d'avance, Sydney et Tatum sont bien les deux seules à avoir entretenue le contact avec elle et cela malgré ses longs moments d'absences.
-Allez Mags, tout tes amis doivent t'attendre.
Elle tourne ses yeux vert d'eau vers son grand frère, effrayée de poser ne serait-ce qu'un seul pied en dehors de la voiture. Javen l'observe droit dans les yeux, impuissant face à la mine déconfite de sa petite soeur. Elle qui avait pourtant réussi à prendre confiance en elle après de longues années, quelques semaines ont suffit à détruire tout leur travail.
-Peut-être puis-je rester un jour de plus à la maison ?
-Je ne pense pas que cela soit possible. ricane-t-il alors qu'ils lui montrent quelque chose se passant derrière elle.
Mawen revenant fièrement avec Stu, son meilleur ami de toujours depuis au moins la maternelle. Les deux garçons sont déjà accroché l'un à l'autre, Stu arbore un sourire illuminant tut autant que son frère jumeau. Maddie se tourne alors directement vers Javen avec un regard suppliant, presque les larmes aux yeux.
-S'il te plaît ramène à la maison, je t'en prie... Javen, je ferais tout ce que tu veux, promis.
-Je crains qu'il soit trop tard petite chose. Les affreux sont là, allez dehors. Maintenant.
Maddie n'a pas le temps de riposter que sa portière s'ouvre lui faisant pousser un petit cri de surprise alors que des grandes mains la kidnappe de la voiture de son frère. Elle pousse de toute ses forces pour que son "kidnappeur" la lâche enfin, ce qu'il finit par faire bien qu'il garde toujours ce sourire de cinglé sur son visage.
-Salut Maddie !
-Salut.
-Eh beh dit donc, où est passé notre jolie fille souriante ?
-Où est Tatum ?
La brune cherche quelques secondes son amie d'enfance, voulant désespérément quitter l'entrée de l'école et se cacher dans les toilettes.
-Pas là aujourd'hui. Sydney non plus d'ailleurs. Aujourd'hui tu restes avec nous ! ricane Stu avec une joie communicative -du moins avec Mawen-.
-Stu, je te confie ma petite sœur, je te fais confiance mec. parle Javen à travers la vitre à présent ouverte.
Stu se baisse pour saluer l'aîné de la fratrie. Il lui adresse un signe de main avec un grand sourire, visiblement heureux de le revoir lui aussi.
-Tout va rouler comme sur des roulettes mon pote !
-Bonne journée les gamins, à ce soir.
-A ce soir frangin. Salut Mawen avec un sourire alors que Maddie lui adresse un faible signe de main, manifestement bien moins enjouée à l'idée de passer ce premier jours de cours avec son frère et son meilleur ami fou.
Alors que Javen quitte le devant du lycée un autre jeune arrive au même moment. Stu saute sur le trottoir avant de passer un bras autour du jeune homme, l'attirant comme un bourru vers les jumeaux.
-Mon pote, je te présente Mawen, mon meilleur ami depuis que je suis tout petit. Et sa jumelle, Maddie. Mignonne hein ?
-Parle un peu mieux de ma sœur, grand charmeur. parle Mawen malgré son sourire malicieux.
Maddie roule des yeux, réajustant son sac sur son épaule alors qu'elle passe à côté des garçons, préférant finalement rester seuls plutôt qu'avec ces deux cinglés du ciboulot. Elle se souvient parfaitement de duo abominable que forme son jumeau et Stu, deux diablotins inarrêtable. Et maintenant qu'ils sont grands ? Elle n'ose imaginée.
-Eh, tu vas où comme ça ? demande Mawen, sa voix soudainement plus ferme.
Maddie se tourne vers son frère, les sourcils froncés. Dieu qu'elle peut paraître timide mais face à son frère ? Une autre personne est là.
-Ca va, il n'y a rien à craindre ici. Tranquille Max.
-Rien ? Un malade habillé en fantôme tue des gens, tu ferais bien de rester près des garçons et moi.
-Genre tu penses qu'un tueur peut s'intéresser à moi ? On vient d'arriver Max...
-Il n'a pas tord. tente Stu avec un fin sourire sur les lèvres.
Maddie le toise plusieurs secondes, le faisant d'autant plus sourire. Il la retrouve bien là dans ce regard, son fort caractère bien cachée derrière sa façade de mouton sans défense.
-Les tueurs ne tuent pas au hasard, Mawen.
Elle remarque directement les yeux du nouvel ami de Stu se braquer sur elle, lui donnant des frissons désagréable. Elle tient son regard quelques secondes avant de le détourner, une sensation bizarre fait rage dans tout son corps.
-Tu parles comme si tu connaissais le sujet. finit par lâcher le garçon châtain.
-Je... Pardon. bafouille-t-elle rapidement en prenant ses jambes à son cou.
Enfin s'était sans compter sur Stu qui la rejoint à grande enjambée, passant son long bras autour de ses frêles épaules. La différence de taille entre les deux adolescent en est presque comique.
Mawen les observes quelques longues secondes avec un fin sourire sur les lèvres. Puis il dirige ses yeux bleu-vert vers Billy. A la différence de sa sœur, lui connaît déjà le jeune homme. Stu les avait déjà présenté via un appel vidéo sur l'ordinateur. C'est alors qu'il sourit presque de la même manière exagérer de Stu. Billy le remarque et le regarde en retour, son visage exprimant toute sa confusion face à l'aire surexcité du garçon à côté de lui.
-Maddie veut devenir criminologue.
-Elle est fan des tueurs en série ?
-Pas fan, fasciné je dirai. C'est... son petit côté sombre à elle. sourit-il en finissant sa phrase.
Il n'attend pas que Billy ne lui réponde, il court déjà dans la direction où sont partis son meilleur ami et sa sœur jumelle. C'est pour cela qu'il ne capte pas le regard sombre dans les yeux de Billy, ni son sourire énigmatique.
~ COD WW2 ~ William Pierson X F!Reader

Je cours, protégeant les arrières de mon demi-frère cadet. Je le pousse violemment dans un fossé alors qu’une mitraillette tente de vous faire tomber tous les deux. Je saute aussi dans la fosse, une douleur aiguë se fait alors ressentir sur mon flanc. Je grince des dents et tombe lourdement à côté de mon frère qui m’aide à me cacher, le dos bien collé au mur de terre. Je passe une main sur mon flanc avant de la mettre devant moi, un sifflement s’échappe de mes lèvres.
-Merde. Grognes-tu, attirant les yeux de ton frère.
-Putain de merde, comment tu te sens ? Demande-t-il, paniqué.
-Ca va, ça va. Il faut qu’on se sorte de là, Rob.
Tu te lèves sur tes genoux et tire à l’aveuglette, entendant les hurlements mourant des boches que tu touches. Alors que vous étiez tous les deux concentrés à tirer, vous entendez des voix vous appeler et cela vous interpelle.
-ZUSSMAN ! ZUSSMAN ! Hurle la voix de Daniels, presque imperceptible avec les tires constants.
-PAR ICI, DANIELS !! Aboie-tu en retour.
Soudain ma jambe flanche, attirant toute l’attention de Robert. Il s’agenouille à côté de moi, sortant sa trousse de secours mais je l'arrête d’une main, le regard ferme.
-Tu tiens cette putain de ligne, t’as comprit ?!
-Tu perds trop de sang !
-ROB OBEIS MERDE !
Il jure dans sa barbe, se redressant alors qu’il reprend les tire contre les allemands. Daniels et Pierson nous rejoignent alors en courant accroupie. Daniels se poste à côté de son meilleur-ami et commence à tirer avec lui. Je regarde Pierson, la sueur commençant à s’accumuler sur ma peau alors que des vagues de froid commencent à me prendre. Il s'accroupit au-dessus de moi, commençant à me déshabiller. Ses gestes sont rapides mais minutieux alors que je le regarde faire, grimaçant lorsqu’il touche une zone douloureuse.
-Regardons à quel point cela peut être grave… Grogne-t-il, retirant mon haut jusqu’à la naissance de ma poitrine.
Je tente de me redresser sur mes mains, voulant au moins voir l’ampleur de la blessure mais il y a tellement de sang qui en sort que l’on ne perçoit même plus l’entaille. Je regarde alors les lèvres de Pierson qui forment une ligne droite, pincée qui ne présage rien de bon.
-C’est foutu.
Il me lance un regard avant de s’activer à stopper l'hémorragie. Il passe plusieurs compresses qui finissent toutes par être imbibées de mon sang. Je pose une main sur son bras, essayant de le faire s’arrêter, j’ai bien comprit, je suis condamnée.
-Laisse-moi travailler sur ta blessure, Anderson. Ne fais pas ta chieuse.
-Sergent, partez. Les gars sont bientôt à court de munitions.
-Turner me tuera pour t’avoir abandonné dans les tranchées.
Il réfléchit quelques secondes avant de retirer les compresses, prendre sa gourde d’alcool et sans prévenir me vider le contenant sur la plaie. J’hurle de douleur alors que je me redresse violemment, agrippant son bras. Il ignore tout de ma souffrance, prenant des compresses propres avant de me redresser en une position assise sans une once de douceur. Il me bande l’abdomen, faisant un bandage très serré, me coupant presque la respiration. Il m’installe alors sur ses épaules, commençant à me soulever. Je grogne à cause de la douleur mais tente de me faire taire, il fait tout son possible pour me sauver la vie, je vais peut-être éviter de lui crier dans les oreilles.
-Couvrez nos arrières, on dégage dans les bois à droite. On rejoint Turner ! ALLEZ ALLEZ !
Pierson se met à courir, me secouant comme un sac de pomme de terre. Daniels et Rob sont juste derrière nous, courant en même temps de tirer derrière nous. J’attrappe mon fusil et tire du mieux que je le peux sur quelques allemands pas très prévoyant qui court totalement à découvert. C’est alors que nous entrons dans les bois, la course poursuite est encore plus périlleuse et je prie le bon dieu pour que Pierson ne trébuche pas sur une pierre ou une racine d’arbre bien caché.
-TURNER ! COUVRE NOUS BORDEL ! Beugle le sergent alors que nous nous rapprochons de leurs lignes.
J’ai l’impression que le sergent redouble de puissance dans ses jambes pour nous mettre en sécurité le plus vite possible alors que les balles des allemands ricochent contre les troncs d’arbres à côté de nous, faisant voler un peu de terre sombre derrière notre chemin.
Bien sur ce qui devait arriver, Pierson commence une chute sur le sol mousseux des bois. Je roule sur le côté, grimaçant sous la douleur aiguë que je ressens dans tout mon corps.
-Anderson, relève toi bordel ! C’est pas le moment de dormir ! Aboie-t-il sur moi, me prenant en sac à patate alors que nous passons la ligne. Mon frère est Daniels sont déjà assis au sol, récupérant de leur course éreintante. Je suis posé sur une couverture au sol par mon sergent alors qu’Aiello est déjà sur moi, coupant le bandage de pacotille. Il commence à nettoyer alors que je me mord le bras.
-Elle va s’en sortir, hein ? Demande Rob, à présent à côté de moi, me prenant tendrement la main.
-La balle est encore à l’intérieur mais ça n’a pas l’air mortel comme blessure. Je pense. Il faut que je retire la balle et recoud, on n’a pas le temps de la faire transporter jusqu’à un hôpital avec tout ces boches partout. Tenez-la fermement, les gars.
Je jette un regard effrayé à mon frère qui se place vers ma tête, l’installant sur ses cuisses avant de me maintenir sur mes épaules. Daniels et Stiles se place vers mes jambes et les tiennent solidement au sol. Turner s’approche d’Aiello, lui chuchotant quelque chose avant de s’approcher vers mon visage souffrant.
-On va te sortir de là, ma fille. Continue d’être courageuse, ok ?
Il se redresse sur ses jambes, se plaçant à couvert au bords de lignes, aux côtés de Pierson qui tire déjà depuis un moment avec d’autre brigade.
-Sans rancune, Lily, hein. Me dit Aiello mais avant que je ne puisse répondre il plonge l’un de ses instrument de torture dans ma plaie, me faisant hurler de douleur. même avant je n’avais pas eu aussi mal.
-ROB FAIS LE S’ARRETER PUTAIN !!
-Ce n’est qu’un mauvais moment à passer, soeurette.
-Allez, tu tiens le bon bout. Me réconforte Daniels alors que je tente de lui mettre un coup de genoux pour me sortir de cette merde.
J’attrappe les bras de mon frère et finit par y planter mes ongles. Mes cris attirent l’attention de tout le monde mais je me moque totalement de qui me regarde à travers ce bordel. Tout ce que je veux c’est que ça s’arrête et vite avant que je ne commette le meurtre de l’un de mes frères d’armes.
-Putain Aiello bouge toi elle m’évisserre les bras ! Se plaint mon frère alors qu’il lui lance un regard noir.
-J’arrive pas à la remonter, il y a trop de sang, il faut qu’elle arrête de bouger !
-On a pas d'anesthésiant ? Propose Stiles alors qu’Aiello retire son instrument, lançant un regard en biais à son protégé.
-Tu ne pouvais pas nous le dire avant qu’il t’en reste ?! Beugle-t-il.
-VOUS ME SAUVEZ OU VOUS ME CHARCUTEZ ?!! Ai-je fini leur crier, en ayant plus qu’assez de cette mascarade.
Turner et Pierson finissent par nous rejoindre en courant, m’ayant sûrement entendu.
-C’est pire que lorsque je vous l’ai laissé ! S’agace Pierson.
Les garçons deviennent tous livides alors qu’un gémissement plaintif sort de mes lèvres.
-Putain retirer cette balle ou je jure que je le fais par moi-même…
-Aiello, bouge toi le fion, tu veux ?! Aboie Pierson.
-Anesthésiant. Ordonne-t-il alors que Pierson s’accroupit en face de mon ami médecin-militaire, posant ses mains à plat sur ma peau, une sur le bas de mon ventre et une autre sur mes côtes.
Turner se met à côté de Pierson, prenant mon visage en coupe alors que son visage toujours compréhensif et rassurant fait place devant mes yeux, je ne vois plus que lui et mon frère.
-On est tous là, ok ? Tu vas t’en sortir.
-Lieutenant… J’ai froid… Ai-je murmuré alors qu’il essuie mes larmes, je n’avais même pas remarqué mes propres pleurs avec toute cette merde.
Il échange un regard avec Pierson mais je ne vois pas la manière dont il se regarde. Pour seule réponse j’ai Aiello qui me lance un regard sérieux.
-C’est normal, ne t'inquiète pas. Allez, j’y vais, tenez là correctement cette fois-ci.
Je sens une petite piqûre mais rien de pire que ce que j’ai déjà vécu. Je prends les poignets de mon lieutenant dès que je sens Aiello remué son truc dans ma plaie. Sans pouvoir le contrôler je tente de lever mon bassin, repliant mes jambes. Cela surprend Stiles qui se prend un genoux dans le menton. Turner attrape mon menton et me force à le regarder, il tente de me rassurer mais la seule chose que j’entends c’est Pierson aboyer sur l’incompétence de Daniels et Stiles. Au bout de quelques secondes je ne ressens plus de douleur, juste une sensation étrange et dérangeante dans ma plaie mais plus de douleur insurmontable.
-Je l’ai, la voilà… Soupire Aiello en sortant la balle de mon corps.
Il la donne à Daniels avant de préparer autre chose. Je regarde mon frère, totalement happé par les soins que me procure notre ami.
-Toujours avec nous Anderson ? Demande Pierson de sa voix rauque.
J’hoche seulement la tête, recevant un sourire heureux de mon lieutenant mais je suis juste trop prise de fatigue pour le lui rendre.
-Parle Anderson, je ne travaille pas avec les muets. Insiste le sergent, ne me donnant aucun regard mais je sais qu’il sait que je suis toujours consciente.
-Toujours là pour vous servir sergent… Ai-je murmuré d’une voix rocailleuse.
-Bien, parce que j’ai pas fini de te faire bosser, soldat.
-D’abord elle récupèrera et après vous lui donnerez votre merde, Pierson. Sourit Turner en donnant un regard à Pierson.
-C’est une dure à cuir, elle survivra à de la paperasse. N’est-ce pas Anderson ?
-Quelle merde… Ai-je soupiré, faisant rire Turner alors que Pierson m'envoie un regard prévenant.
-Surveille tes lèvres, soldat.
Je lui lance un léger sourire alors qu’il se détourne de mon regard. Me laissant de nouveau avec Rob toujours aussi silencieux et mon lieutenant heureux de ne pas avoir perdu un soldat en plus aujourd’hui.
-J’ai presque fini. Ça va là-bas ? Interroge le médecin, sûrement en train de me recoudre.
-Si t’as fait de mon corps une boucherie recousue, je te tue de mes propres mains Aiello… Ai-je menacé faiblement, faisant ricaner presque tout le monde.
-Je prends ça pour un oui. Me répond-t-il simplement, j’entends le sourire dans sa voix.
Bien plus tard, je suis installé dans la tente de Turner, plus loin des lignes maintenues par d’autres brigades. Ils ont monté le camp tout à l’heure, les garçons se sont tous mis pour monter ma tente le plus rapidement possible. J’adore notre lieutenant mais je ne me vois pas vraiment partager une tente avec lui. Et encore, je peux m’estimer chanceuse, je n’ai pas été installée dans celle de Pierson ! Il ne me déteste pas et je ne le déteste pas mais disons que nos deux caractères explosifs n'auraient pas fait bon ménage dans un seul et même lieu clos. En parlant de nos deux supérieurs, ils entrent dans la tente. Turner s’approche de moi avec une gourde, me la tendant simplement.
-Bois un peu, c’est important.
-Merci, lieutenant.
Je prends la gourde et bois quelques gorgées avant de la refermer. Je la lui rends et me redresse lentement, le faisant froncer des sourcils alors que le sergent se contente de plisser les yeux, ses noisettes sombres observant chacun de mes faits et gestes.
-Qu’est-ce qu’il s’est passé là bas ? Avant que le sergent et Daniels vous retrouvent dans la tranchée. Demande-t-il, prenant un tabouret et l’installant à côté de votre lit de fortune.
Je ferme les yeux quelques secondes, me remettant les souvenirs dans l’ordre dans ma tête. Avant de les ouvrir et regarder Turner droit dans les yeux, yeuxtant de temps à autre les réactions de Pierson.
-L’escouade du sergent Forbes s’est fait décimer en l’espace de dix minutes. J’ai pas cherché à comprendre, lieutenant, j’ai chopé mon frère et je nous ai couverts.
-J’avais ordonné le repli immédiat. Vous auriez tous dû partir. Gronde-t-il.
-Forbes voulait qu’on tienne la ligne le temps que les renforts arrivent.
-Et comment toi et Zussman vous en êtes-vous sorti alors ? Intervient le sergent, s’approchant de ma couchette.
Je prends une goulée d’air et baisse les yeux. C’est pourtant simple, j’aurais préféré qu’ils le devinent plutôt que de le dire à voix haute. Je sens alors Pierson s'impatienter à côté de moi mais je ne m’attendais pas à ce qu’il bouscule Turner et vienne m'agripper la mâchoire de sa main puissante. J’attrappe son poignet, la peur et le regret s’insinuant lentement dans mes veines.
-Anderson, c’est pas le moment de chialer !
-Désolée sergent…
-Pierson, elle a failli y passer, c’est normal -....
-Normal ?! Turner, on a perdu trop d’effectif cette semaine, les rations s’amenuisent, nos soldats n’ont même plus envie de se battre, ils attendent la mort ! La preuve, cette idiote m’a demandé de la laisser dans les tranchées, elle attendait déjà la mort à peine avais-je soulevé sa chemise !
-WILLIAM !
La voix résonnante de Turner me fait sursauter, baissant mes yeux sur mes jambes allongées sous la couverture. Seule la respiration hiératique du sergent se fait entendre à présent. Pierson m’avait lâché durant sa tirade, finissant simplement par me montrer du doigt.
-Anderson, regarde moi et écoute moi bien. Reprend le sergent d’un ton dur, menaçant même. Je lève les yeux et obéis à ses ordres. Je t’interdis de mourir, personne dans mon peloton ne mourra sous ma surveillance.
J’acquiesce silencieusement, ce qui n’a pas l’air de lui plaire. Je me reprends alors avant qu’il ne crie encore une fois.
-Oui, monsieur… Ai-je murmuré.
-J’ai rien entendu ! Est-ce que c’est clair ?!
-Oui, sergent ! Ai-je répondu en élevant la voix à mon tour.
Lorsque le calme revient, j'ai la sensation d’entendre mon cœur battre comme un fou dans mes tympans.
-Bien. J’aurai du travail pour toi.
-Bien, sergent.
Pierson s’éloigne, les yeux toujours aussi durs que lorsqu’il s’est énervé contre moi. Je ne pensais que ce que je lui avais dit dans cette tranchée l’avait marqué plus que ça. C’est la guerre, bien sûr qu’il y a des centaines et des centaines de morts.
Le soupir de Turner me ramène alors à la réalité, Pierson est parti. Le lieutenant se réinstalle proche de moi, me prenant la main, signe de son soutien.
-Raconte-moi ce qu’il s’est passé avec Forbes, je vais devoir faire un rapport sur la journée.
-Forbes voulait qu’on reste en position. Mais on allait tous se faire tuer, lieutenant, c’était encore l’un de ses plans stupides pour devenir un héros de guerre, j’en suis sûre.
-Une preuve quelconque ?
-Il s'est tiré en courant quand il a compris qu’il avait signé notre arrêt de mort. Ai-je murmuré finalement.
Flashback :
Je suis assise contre un petit mur de pierre , je ne sais pas où est passé mon frère ce qui me fait paniquer intérieurement en voyant les hommes de la brigade de Forbes tombé un à un. Je me tourne pour voir si je ne peux pas changer de planque dans l’espoir d’avoir un meilleur visuel et retrouver mon demi-frère. Les balles ont arrêté de pleuvoir dans tous les sens, me laissant respirer. C’est alors que je croise le regard du sergent et mon cœur s’arrête presque. ll semble effrayé, même pire, je ne saurais même pas trouver la bonne émotion qui est peinte sur son visage.
-Sergent ! Qu’est-ce qu’on fait ?! Lui ai-je demandé alors que quelques tire ricoche non loin de moi.
Il ne me donne même pas un regard, je continue de l’appeler alors que les tire redoublent dans ma direction. J’entends alors Zussman m’appeler, le voyant courir comme un fou en ma direction alors que les allemands tentent de le viser, se jetant au sol avant de se faufiler à mon côté. Je ne peux empêcher un sourire joyeux d'étirer mes lèvres.
-Qu’est-ce qu’il fait ? Il se barre ? S’égosille-t-il alors que je me tourne pour voir le sergent prendre la poudre d’escampette.
Il fait quelques mètres avant d’être fusillé comme je n’ai jamais vu de nos soldats se faire descendre encore. Ils se sont tous mis sur lui, continuant même de tirer sur son corps mort au sol. Je sens mon frère prendre ma main, tétanisé. Il ne reste que nous deux contre tous ces allemands et on doit encore rejoindre le peloton sur ordre de Turner. Se serait du suicide de courir sans protection cependant.
-Ils vont finir par nous trouver,Lily. Murmure Zussman, tentant de faire le moins de bruit possible.
-Il faut courir en retrait mais stratégiquement. Si on court sans savoir où on va se faire tuer.
-Passons de tranchée en tranchée.
-On sera trop à découvert, trop dangereux.
-On n’a plus le choix ! Allez, vient !
-Rob !
Fin du flashback.
Je regarde Turner, il semble énervé et quelque chose d’autre que je n’ose pas identifié dans ses yeux. Il se lève du tabouret et s’installe à son bureau de fortune, commençant à griffonner sur des feuilles de papier. Je comprends alors qu’il commence son rapport, je continue de l'observer un peu avant de me coucher, lui tournant le dos alors que je ferme tranquillement les yeux.
-Je suis désolé. Ajoute-t-il au silence dans la tente mais je ne réponds rien, acceptant seulement l’excuse. J’aurai dû écouter Pierson.
Je me tourne avec une grimace sur mon flanc blessé mais au moins je peux le voir, affalé sur cette chaise, accablé par de la culpabilité.
-Ce n’est pas de votre faute, lieutenant.
-J’aurai dû envoyer Pierson avec vous, rien de tout cela ne serait arrivé.
-On aurait perdu beaucoup de bons hommes, peu importe le sergent en tête. C’est la guerre, c’est tout. C’est… normal.
Ma déclaration le fait se redresser sur sa chaise mais il ne me regarde pas, gardant ses yeux rivés sur la toiles de tente abîmée.
-Un leader n’est pas censé abandonner ses hommes au combat. Ce n'est pas honorable.
-Je suis d’accord avec vous. Mais tout dépend des circonstances finalement.
-Explique toi.
-Si une brigade est juste condamnée, cela ne sert à rien de mettre sa propre brigade en danger de mort pour des condamnés.
-Mais s’il y a ne serait-ce qu’une petite chance de les sauver, tu le fais ?
-Si j’estime que mon équipe n’a pas ses chances pour x ou y raison, non. Les autres mourront mais mon peloton survivra.
Je l’entends émettre un ricanement rauque avant qu’il ne se tourne vraiment vers moi, toujours un sourire aux lèvres alors qu’il se masse le front. Je ne l’avais jamais vu aussi lasse, aussi… Vrai.
-Je comprends un peu mieux pourquoi Pierson te garde toujours auprès de lui.
-On a servi à Kasserine ensemble, Turner. Tous les trois, comme avant…
-C’était tes débuts, ouais… Ça rajeunit pas hein ?
Je ne peux m’empêcher de ricaner, laissant mes yeux dériver dans le vide. Putain ouais, ça fout un coup de vieux cette histoire.
-Lieutenant vous venez de me faire ressentir ma vieillesse.
Il rigole franchement pour une fois, j’ai l’impression que ça fait une éternité que je n’ai pas rigolé avec lui.
-Ne te plains pas, tu n’as pas encore mon âge.
-Le pire de nous trois reste Pierson, je trouve. Il vieillit mal. Il a seulement 34 ans ça craint.
Il retient un rire alors que nous sommes surpris par un casque qui vole en ma direction. Ce putain casque vient de dehors, c’est obligé. Soudain la moitié de Pierson passe les portes en tissu, l’air grincheux. Je pose une main sur mes lèvres, me retenant de rire.
-Et tu lui laisses dire ça de moi, Joseph ?
Notre lieutenant lève les mains en l’air, signe de reddition avant de retourner à son rapport, un sourire moqueur aux lèvres.
-Ne parle plus de Kasserine, Anderson, c’est du passé. La prochaine fois, je te raterai pas, sale gamine.
-Ca fait partie de notre histoire quand même, sergent.
-Ouais ouais, c’est ça. Surveille ta langue.
-Vous étiez plus drôle avant.
-Un point pour elle. Intervient Turner, faisant souffler Pierson qui récupère son casque, partant comme un gamin boudeur.
J’échange un regard avec Turner, souriant moqueusement avant qu’il ne se remette au travail, m’ordonnant de me reposer.
~Ohayo !~

~ Bienvenu sur mon blog ! ~
~ A propos de moi :
-J’ai 19 ans
-Ma passion est l’écriture !
-Je suis autrice Wattpad et j’ai deux comptes :
https://www.wattpad.com/user/Law-Forever
https://www.wattpad.com/user/MelStoryH
-Mon pronom : elle
~En ce qui concerne mes histoires se sont principalement des fanfictions ! J’écris sur :
Call Of Duty World War II
Esprit Criminel
TVD / The Original
Teen Wolf
Hunger Games
Avatar
Je fais aussi du NSFW / smut appelez cela comme vous le souhaitez mais seulement quand je suis dans le mood. Toujours est-il que si cela vient à se produire je préviendrai, ne vous inquiétez pas !
~Et pour finir les règles :
- Merci de ne pas partager mon contenu sur d’autres plateformes !
- Respectez les autres, s’il vous plaît, nous sommes tous égaux, nous avons autant de valeurs les uns que les autres.
- Pas de clash, par pitié.
- Non aux commentaires homophobes ou quoique ce soit dans ce genre, je n’apprécie vraiment pas cela. Vous avez votre opinion, certes, mais gardez la pour vous si elle peut nuire à d’autres.
Je pense que se sera tout ! ❤
~ Shadow And Bones ~ Aleksander Morozova X F!Reader

Point de vue omniscient :
Lace se tient droite comme un piqué en face du Général Kirigan, la jeune mère a les mains jointe sur son ventre plat, regardant le Général droit dans les yeux.
-Que puis-je faire pour vous, Madame Fell ? Lui demande-t-il avec un fin sourire.
-Je suis venue vous parler de Asteria.
Kirigan se redresse et bombe le torse sans même y faire attention. Il incline la tête sur le côté et fronce les sourcils. Il s’approche de la bourgeoise résidant à la cour du château.
-Moi et mon mari voudrions l’adopter. Elle serait une Fell. Avec un bel avenir.
-Hors de question. Avec moi, elle est en sécurité.
-Tous les enfants la craignent pour ses dons et se moquent d’elle. Tout le monde à la cour sait qu’elle est une orpheline du bas peuple. Général, si vous voulez vraiment son bien, vous acceptez mon offre.
-Quelle offre ? Je n’y gagne rien. Repartez.
Il lui tourne le dos et se poste à une fenêtre, regardant justement Asteria jouer dehors avec quelques gardes qu’il a envoyés pour la divertir. Lace le rejoint, observant la petite fille de huit ans rire aux éclats. Un fin sourire s’installe sur les lèvres pulpeuse de la jeune femme contrastant avec l’air préoccupé du Général.
-Elle se mariera à l’un des fils du roi et de la reine. Elle pourra devenir reine de Ravka.
Il détourne son regard sur elle, la regardant perplexe à ce qu’elle dit. Elle lui offre un sourire d’autant plus grand.
-Je ne vous l’arrache pas, Général. Tout le monde sait que vous voyez bien plus en elle qu’une simple élève. Mais avec mon mari et moi, elle aura un climat familial et stable. Elle grandira dans l’amour et la protection d’une famille soudée et bienveillante.
-Vous faites cela juste pour que votre famille accède au trône.
-Ne voulez-vous pas qu’elle obtienne du pouvoir ?
-Là n’est pas mon but principal.
-Vraiment ? Alors les cours intensif et entraînements répétitifs ne sont pas installés pour la faire gagner en pouvoir ?
-J’agis pour son bien à elle et pour tous les grisha.
Sa voix se fait menaçante et ses yeux s’assombrissent de colère. Il la fusille du regard quelques secondes avant de lui tourner le dos, rangeant quelques papiers et cartes traînant sur sa grande table centrale.
-Je pense aussi à elle. Elle sera choyée comme ma descendante directe et les autres enfants et adultes de la cour se verront être forcés de la respecter. Je lui sauve la vie en lui donnant la possibilité d’être la future reine de Ravka. Pensez-y.
Un silence se fait dans les appartements du Darkling.
-Quittez mes appartements.
-Je vous laisse réfléchir, j’attendrai votre réponse.
Elle quitte les appartements du Darkling la tête haute et l'air assurée, sachant qu’elle a insinué le doute en lui.
Plus tard dans la journée, Aleksander vient chercher la petite Asteria dans sa chambre alors que les dames de chambre venaient tout juste de finir de la préparer pour aller au lit. En le voyant entrer tel une furie, elles se courbent en avant puis sortent en souhaitant bonne nuit à Asteria. Aleksander se met assis sur le matelas de qualité de la petite, l’invitant la seconde d’après à s’installer auprès de lui.
-Que penses-tu de la famille Fell ?
-Les garçons sont gentils. Mais un peu bête quand même.
-Et Madame Fell ?
-Lace est très gentille. Elle m’aide à cueillir des fleurs des fois.
-Et son mari, que penses-tu de lui ? Il a l’air de confiance ?
-Il m’aide avec mes devoirs que l’apparat me donne. Mais ne le dit pas, c’est un secret !
Aleksander lui offre un sourire qu’elle lui rend. Elle prend soudainement sa main et le tire avec elle au lit. Il se laisse faire et s’allonge sur les draps alors qu’elle passe sous la couette, se rapprochant de lui. Il l’entoure d’un bras, profitant de sa proximité avec la petite fille.
-Tu aimerais vivre comme Madame Fell ?
-Je veux devenir comme elle. Belle, gentille et influente. Tu la trouves belle, toi ?
-Elle est jolie, oui. Mais tu deviendras plus jolie qu’elle.
-Avec des belles robes et des bijoux qui brillent ?
Elle relève ses yeux noirs pétillants de joie vers le visage du Darkling plus fermé. Il remarque alors cette étincelle de bonheur et d’espoir dans les yeux de sa protégée. Il lui sourit avant de soupirer en haussant les épaules.
-Rien n'est impossible pour nous.
-Parce qu’on est trop fort !
-Parce qu’on est trop fort, c’est ça.
-Et quand je serai la plus forte, tous ceux qui auront été méchants avec nous seront punis.
Elle baille longuement avant de s’enfoncer un peu plus dans les bras du Général. Ce dernier a les yeux baissés sur elle avant de soupirer et de se retirer lentement, faisant grogner la petite.
-Je vais te laisser dormir petit ange. Fait de beaux rêves.
Il lui embrasse le front mais avant qu’il puisse se relever elle retient sa kefta noir.
-Reste avec moi cette nuit. S’il te plaît.
Il la jauge du regard un instant avant d’acquiescer à sa demande. Il retire ses bottes et quelques uns de ses vêtements, gardant un simple haut noir ample et son pantalon de la même couleur. Il se met sous les draps, Asteria venant directement se coller à lui. Il enroule ses bras autour d’elle et pose son menton sur le sommet du crâne de la gamine.
Le lendemain matin à sept heure lorsque les dames de chambre entrent dans la chambre d’Asteria elles sont toutes aussi surprises les uns que les autres de voir le Darkling dormir à point fermé avec la petite dans ses bras, se serrant l’un contre l’autre comme s’ils avaient peur d’être arraché de leur étreinte. Celle qui dirige le petit groupe de jeune femme leur fait signe de rester silencieuse et de quitter la pièce.