Annie Leonhart - Tumblr Posts - Page 2

2 years ago

aot characters reacting to you jumpscaring them

note: heyyyy so this is my first post, hope you enjoy it!! (●Žω●)          hope no one has done this yet

characters: eren, mikasa, armin, annie, levi

warnings: mention of dying in levi’s part (lol) , fluff, not many warnings tbh

eren:

-jumps

-tries to act like nothing happened

-if he’s in a bad mood then... *lightning flashes*

-would glare at you

- “what do you want”

-i feel like he would ignore you for the rest of the day tbh

-too bad lol /j

mikasa:

-DOES NOT GET SCARED

-her reaction will scare you instead tbh

-oh how the turn tables

-will stare at you like ?? you tryna scare her?

-carries on with whatever she’s doing

-may pet you on the head if she’s happy

armin:

-oh jeez

-will scream

-“AAAHHHHH WHY WOULD YOU DO THAT”

-will laugh it off somehow

-you will feel guilty 

-will be scared of you for the rest of the month

annie:

-she’s just like 😐

-may jump a little if you put in effort to scare her

-sometimes if you really catch her off guard she’ll shout

-“AAAHH- oh it’s you 😐”

-will find a way to get you back

-and you learn your lesson

-don’t scare my baby <3

levi:

-don’t.

-will end your whole existence right there and then

-you won’t live. not kidding.

-if he’s in a bad mood you’re done for

-he can and will slice you into pieces in 2 seconds

-would probably stare you down and get his sword ready

-good luck bestie


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3 years ago

SNK ○ Death!Marco Bott x Reader x Jean Kirstein :

SNK Death!Marco Bott X Reader X Jean Kirstein :

"Promesse."

Alors que tout le monde est occupĂ© Ă  reprendre leur Ă©motion et a rĂ©cupĂ©rer les cadavres de leur dĂ©funts camarades, une personne semble marcher Ă  pas rapide de bout en bout dans toute les rues. Cette personne est EmĂ©lia Jackson, une jeune femme venant du district envahi prĂ©cĂ©demment par ces ĂȘtres immondes. Reiner finit par l'intercepter afin de la calmer dans un cĂąlin comme elle aime tant mais celle ci se dĂ©gage sĂšchement de son emprise ce qui le surprend, lui et tous les autres autour. Tous savent au combien ce petit rayon de soleil adore les cĂąlins autant pour le plaisir d'en avoir que quand elle se trouve agitĂ©.

-Pourquoi t'agites-tu dans tous les sens comme tu le fais ? Demande Annie en la regardant avec un soupçon d'inquiétude pour l'une de ses seules amies.

-Je ne le trouve pas, Annie. Je commence sérieusement à m'inquiéter... Dit la jeune brune avec une voix tremblotante, les yeux larmoyant.

Reiner, Berthold et Annie l'observent longuement avec des regards que ne rĂ©ussi pas Ă  dĂ©chiffrer la jeune femme. Mais elle se moque bien de ce qu'ils peuvent penser. Il fallait qu'elle retrouve son meilleur ami depuis toujours, celui qui a le pouvoir de la calmer avec de simples sourires, celui qui a toujours Ă©tĂ© lĂ  pour elle et qui a promit de l'ĂȘtre pour l'Ă©ternitĂ©. Mais voilĂ  le problĂšme, elle ne l'a pas aperçu une seule fois depuis que tout les titans ont Ă©tĂ© tuĂ©s.

Elle se tape soudainement les joues, voulant se raisonner. Il ne peut pas ĂȘtre mort, aprĂšs tout il allait intĂ©grer les brigades spĂ©ciales ! Il Ă©tait dans les dix premiers de la promotion, non il n'a pas pu se laisser avoir, pas lui.

Avec son Ă©quipement elle monte sur un toit afin d'avoir une meilleure vue.

Du bas, Berthold continu de l'observer avant que Reiner ne pose une main sur son Ă©paule, lui montrant un regard compatissant.

-Nous n'avions pas le choix... Murmure-t-il Ă  l'intention de son ami.

Berthold acquiesce avec un regard triste. Soudain Emélia voit dans la rue voisine un petit groupe de personne rassemblé autour d'un corps. Elle reconnaßt la touffe de cheveux chùtain de Jean. Un sourire apparaßt sur son visage, s'il y a Jean il doit forcément y avoir Marco avec lui, se dit-elle.

-Les gars ! Je vois Jean dans la rue d'Ă  cĂŽtĂ© ! Je vais le rejoindre, Marco doit ĂȘtre avec lui ! Dit joyeusement la brune sous les regards sombre des ses trois amis.

-Attends Emélia, tu ne veux pas nous aider à finir d'identifier les personnes de cette rue avant de rejoindre Jean ? Tu connaissais beaucoup de monde, l'identification des personnes est bien plus rapide avec toi à nos cÎtés... Dit Berthold dans une tentative de la garder auprÚs d'eux, mais en vain.

-Je veux voir Marco, Berthold ! Ne m'en voulez pas de vous abandonnez quelques instants, je promets que je reviens vite. Affirme-elle en redescendant vers eux.

-Mais... Essai le plus grand.

-Ne m'en veux pas ! Je suis vraiment inquiĂšte pour lui, je ne veux pas qu'il soit blessĂ© parce que je ne suis pas restĂ© avec lui... Je veux juste m'assurer qu'il va bien, tu comprends ? Il a toujours prit soin de moi alors je voudrai juste lui rendre la pareil...On se l'est promit lui et moi, on doit toujours veiller l'un sur l'autre. Et je tiens toujours mes promesses. Finit–elle en lui prenant les mains, lui faisant son regard de chaton afin de le faire cĂ©der.

Reiner et Annie tournent leur dos, faisant semblant d'essayer d'identifier l'un des corps pas loin d'eux. Berthold soupire en acquiesçant, faisant sourire la jeune femme de plus bel. Il observe longuement ce magnifique sourire qui va ĂȘtre dĂ©truit dans peu de temps et par leur faute Ă  eux trois.

La jeune femme court jusqu'à la rue voisine, appelant Jean au loin tout en agitant sa main en l'air pour le saluer. Le regard du jeune devient livide en voyant la brunette arrivé en courant, sourire aux lÚvres. Il ne voulait pas qu'elle voit son meilleur ami à moitié dévoré, elle ne s'en remettrait pas.

-Major... Il ne faut pas la laisser passer... Il ne faut pas qu'elle le voit comme ça... Murmure Jean à l'intention d'une femme de grande taille, cheveux brun avec des lunettes carré.

Cette femme demande à deux ou trois membres du bataillon d'exploration de refuser l'accÚs à Emélia, peu importe ses supplications.

Cette derniĂšre c'est vu ĂȘtre arrĂȘtĂ©e net dans sa course, l'inquiĂ©tant de ce que ces soldats lui cachĂ©.

Elle les feinta au bout de quelques secondes avant de courir aussi vite qu'elle le pu vers Jean mais un homme lui prit le crùne et la fit tombé lourdement au sol, la maintenant du mieux qu'il le pu.

-JEAN !! MAIS AIDE MOI AU LIEU DE ME REGARDER COMME UN PERDU !!! Commence-t-elle a hurler, la colĂšre et l'angoisse commençant Ă  prendre possession de son ĂȘtre. ET VOUS LÂCHEZ MOI ESPÈCE DE BRUTE ÉPAISSE !!! Crie-t-elle a l'Ă©gard de l'homme qui la maintient en clĂ© de bras contre le sol.

Les hurlements de la jeune femme attire les soldats du coin. Tous regardent la scĂšne, comprenant sans mĂȘme avoir suivi ce qu'il se passait. D'ailleurs les trois amis se sont aussi dĂ©placĂ©s pour voir ce qu'il se dĂ©roule, s'inquiĂ©tant pour leur amie. Ce n'est pas dans son habitude de crier Ă  tout va contre d'autres personnes.

Soudain, elle eu la force de faire basculer le soldat d'une violence que personne ne lui connaissait. Elle court jusqu'Ă  Jean qui la prend dans ses bras, cachant le corps de Marco reposant derriĂšre lui. Cependant, elle l'a vu et alors qu'elle se dĂ©battait depuis dĂ©jĂ  plusieurs minutes, ses membres se relĂąchĂšrent d'eux mĂȘme. Elle se laisse glisser doucement au sol, Jean l'accompagnant en pleurant silencieusement.

-Je suis désolé, Emélia... Je suis... Commence Jean en prenant son visage entre ses grandes mains afin qu'elle ne le regarde que lui.

Les yeux brisé de la jeune femme face à lui le fit taire subitement. Il ne l'avait jamais vu avec un tel regard, ce regard vide et pourtant si effrayant à voir dans ses yeux à elle.

-Emélia ? Emélia répond moi... Dit quelque chose... Supplie son ami en face d'elle.

-Laisse moi le voir, laissez nous de l'espace... S'il te plaĂźt... Chuchote-elle.

La chĂątain acquiesce avec hĂ©sitation. Il la lĂąche et se relĂšve, s'Ă©loignant Ă  l'autre bout de la rue avec les autres soldats. Certains quitte mĂȘme la scĂšne afin de laisser ces deux personnes se dirent un dernier au revoir. Seuls le Major, Jean et le trio de Reiner restent au bout de la rue, regardant avec une tristesse non dissimulĂ© la scĂšne d'adieu.

Emélia s'installe à cÎté de Marco, elle lui prend la main qu'il lui reste et la serre contre sa poitrine.

-Ne me laisse pas, Marco... Dit-elle en commençant à pleurer. Reviens... J'ai besoin de toi ici, moi... Comment je vais faire pour survivre ici bas moi sans ta protection... Ne me laisse pas toute seule... Pleure-t-elle un peu plus. Tu m'avais promit !...

Elle apporte sa main au visage de son meilleur-ami, hĂ©sitant Ă  le toucher de peur de l'abĂźmer un peu plus. Elle finit par dĂ©placer ce qu'il reste de lui afin de mettre sa tĂȘte sur ses genoux en pleurant toujours plus, se moquant du sang qui tĂąche ses vĂȘtements. La brune joint ses mains et prie afin que son ami puisse reposer en paix. Une fois sa priĂšre terminĂ© elle observe le visage de son meilleur-ami, ses larmes tombant sur son visage.

-Pardonne moi... Je n'ai pas été là pour toi. Pardonne moi, tout est de ma faute. Je n'aurai pas dû... Je suis désolée, Marco... Bafouille-et-elle alors que Jean s'approche d'elle, ayant décidé qu'il était temps pour elle de quitter les lieux.

Berthold le suit de prÚs et aide le chùtain a tiré la jeune femme loin du corps du défunt, non sans jeter un regard désolé par dessus son épaule, regardant des soldats du bataillon d'exploration emporté le corps du jeune homme décédé trop tÎt de par sa faute.

Plus loin, Jean plaque Emélia contre un mur sous les regards de Berthold, Reiner et Annie qui les ont suivi.

-Emélia ! Reprend toi... Regarde moi, s'il te plaßt... Calme toi... Je t'en prie... Supplie Jean en essayant de calmer le jeune femme qui ne cesse de pleurer.

Jean vient sĂ©cher ses larmes Ă  l'aide de ses pouces mais d'autres viennent de nouveau tracer leurs chemins sur les joues pĂąles de son amie. Annie ferme les yeux en dĂ©tournant le regard, ayant elle mĂȘme les larmes aux yeux, s'en voulant affreusement d'avoir mit une amie chĂšre dans un tel Ă©tat. Reiner serre les poings tout en regardant la scĂšne, il n'avait certainement pas prĂ©vu de briser sa protĂ©gĂ©e si tĂŽt et il s'en veut profondĂ©ment mais son devoir devait passĂ© devant ses sentiments, Marco ne pouvait pas rester, il en savait trop. Berthold, quant Ă  lui, finit par venir prendre la jeune femme dans ses grands bras, permettant Ă  Jean de souffler. Lui aussi Ă©tait profondĂ©ment touchĂ© par la mort de son meilleur-ami.

-Calme toi, je t'en prie... Je n'aime pas te voir pleurer. Commence-t-il. Je suis là, je serai toujours là pour toi, cesse de pleurer... Il n'est pas vraiment parti, Emélia.. Il tiendra toujours sa promesse, il te protégera toujours, crois moi.. Tente-t-il de la rassurer.

Emélia enfouit son visage dans la chemise du grand brun, étouffant ses pleurs. Berthold la serre un peu plus fort contre lui, lui caressant le dos d'une main alors qu'il ne cesse d'embrasser ses cheveux. Tout ces gestes affectifs finisse par calmer la jeune femme qui ne se retrouve plus que secouer par quelques sanglots persistant, mais les pleurs sont passés. Pour combien de temps ? Se demande-t-il.

Jean le remercie du regard de l'avoir calmer, bien que cela est duré longtemps. Berthold ne fait qu'acquiescer en signe de politesse, sachant au fond de lui qu'il ne méritait en rien ses remerciements. Il était en parti la cause de ce chagrin.

-On devrait bouger... Finit par dire Reiner.

Seulement personne ne la voient bouger, les inquiĂ©tants un peu. Jean vient la tourner face Ă  lui et vois le premier son regard vide et brisĂ© qu'elle ne tente mĂȘme pas de dissimuler. Elle finit par se reconnecter Ă  la rĂ©alitĂ© et plante tes pupilles dans les siennes, le faisant avoir un mouvement de recule.

-Je veux rentrer à la maison, Jean... RamÚne moi à la maison... Murmure-t-elle d'une voix brisée.

-Oui.. Je te ramùne à la maison, petit cƓur.. On rentre à la maison, ne t'inquiùte pas. Dit-il toujours un peu surprit par ce regard froid et sans vie de sa meilleure-amie, elle qui sourit toujours.

Jean entrelace leurs doigts avant de commencer à avancer dans les rues de Trost, ne regardant pas autour de lui le sang et les morceaux restant de ses camarades morts au combat. Il poursuit sa route sans traßner, forçant Emélia à suivre le rythme de sa marche alors que Reiner, Annie et Berthold marchent légÚrement en retrait.

-Sois patient... Nous te rejoindrons en temps voulu, Marco. Je te le promets...Attends nous. Pense le brunette, regardant à présent le ciel de son regard vide de sentiment.

Fin.


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3 years ago

SNK ○ Berthold Hoover x Reader :

SNK Berthold Hoover X Reader :

Synopsis :

Berthold et toi ĂȘtes ensemble depuis deux mois maintenant et tout le monde le sait dans la 104Ăšme brigade d'entraĂźnement. A vrai dire, vous ne vous cachez pas du regard des autres, aussi surprenant que cela puisse ĂȘtre. D'ailleurs, Shadis Keith, votre chef instructeur, se fait un malin plaisir Ă  rĂ©duire votre temps en amoureux au nĂ©ant le plus total. Cela fait que vous ne vous voyez que rarement si on ne compte pas les entraĂźnements et donc peu de moment en amoureux sont partagĂ©s entre vous. Berthold fait part aux garçons que tu commences Ă  lui manquer. De lĂ  se met en place un plan presque infaillible mis en place par Reiner lui mĂȘme ! Le plan consiste Ă  te faire passer une nuit avec Berthold dans le dortoir des garçons sans que Shadis ne s'en rende compte, sinon vous ĂȘtes tous dead. Un soir, Connie va t'intercepter dans un couloir proche de l'infirmerie dans laquelle tu avais Ă©tĂ© envoyĂ© pour prendre des bandages et de la pommade de la part de Christa pour Ymir. VoilĂ  comment tu te retrouves dans le dortoir des garçons !

○○○

Connie referme rapidement la porte derriÚre toi alors qu'il te tient toujours fermement la main dans la sienne. Il soupire alors de soulagement aprÚs avoir écouté quelques secondes contre le bois de la porte, à l'affut de n'importe quel bruit pouvant lui informer si quelqu'un les a vu. Tu le regardes sans vraiment comprendre mais tu ne dis rien, à vrai dire, Connie ne te fais absolument pas peur... Désolée Connie. Tu regardes finalement les autres garçons qui t'observent avec un grand sourire en voyant ta mine paumée.

-Mais qu'est-ce que... ? Commences-tu avant d'ĂȘtre coupĂ©.

-Ne nous remercie surtout pas, p'tite tĂȘte. Te coupe Jean, ton meilleur ami et ton rival Ă  la fois.

-La ferme tĂȘte de cheval. Claques-tu avec ta langue.

-Sale gamine. RĂąle-t-il.

-TĂȘte de cul. RenchĂ©ris-tu.

-Fermez la vous deux, Keith va finir par venir à cause de vos chamaillerie ! Dit Eren avec un regard sévÚre, lui est aussi un bon ami mais aussi un grand rival, autant dire qu'entre toi, Jean et Eren la 104Úme brigade ne pouvait s'ennuyer ! Sans compter Connie et Sasha...

-Qu'est-ce qu'il nous veut le suicidaire ?! Tonnez-vous avec Jean en chƓur.

Marco vient poser une main sur l'Ă©paule de Jean et la tienne, vous vous retournez d'un mĂȘme mouvement vers lui alors qu'il vous offre un doux sourire. Tu te calmes instantanĂ©ment en rougissant un peu, Marco est ton confident, l'un des seul a vraiment avoir le pouvoir de te calmer. Jean remarque tes rougissement et vient tirer tes joues Ă  l'aide de ses doigts pour t'embĂȘter, te faisant rĂąler.

-T'es trop mignonne, p'tite naine. Rit-il.

-Jean ! Lùche mes joues... Tu me fais mal imbécile.. ! Te défends tu comme tu le peux sous les ricanements des autres qui vous regarde.

-Si tu souffres pour ça, tu vas pas faire long feu dit moi.. Heureusement que je suis lĂ  pour te sauver la mise. Se vante-t-il en te tapotant le dessus de la tĂȘte alors que tu lui jettes un regard noir.

-Dit celui qui c'est couché au sol aprÚs un coup de Keith. Dis-tu en le jugeant du regard de haut en bas, l'agaçant un peu.

-Tais toi, sale gosse. Finit-il par dire en détournant le regard.

Il la pousse sur le lit, tu lui lances un regard noir avant d'entendre des pas venant de l'extĂ©rieur du dortoir. Mes garçons semblent l'entendre quelques secondes plus tard. Jean, Marco et Connie te planque dans le coin de plus sombre du lit avant de se mettre debout devant le lit afin de te cacher. Tout le monde fait le salue militaire alors que tu te ratatines silencieusement dans le coin du lit, une main sur ta bouche pour t'empĂȘcher d'Ă©clater de rire. Tu devines alors que c'est Keith, l'entendant marcher entre les soldats masculins et le faire un dĂ©brief sur la journĂ©e de demain comme il l'avait fait une trois quart heure plus tĂŽt dans le dortoir des filles. Une fois qu'il quitte dĂ©finitivement la chambre tous se relĂąchent d'un seul coup, certains soupirant afin de faire disparaĂźtre la nervositĂ© de leur corps. Tu n pus te retenir plus longtemps et explose de rire, attirant leur regard Ă  tous. Jean essai de te coller une tape derriĂšre la tĂȘte mais tu l'esquives et grimpe rapidement dans le lit de Reiner et Berthold se situant au dessus d'un autre lit. Tu t'allonges finalement de tout ton poids sur le brun et le blond avant de les regarder avec un grand sourire, qu'ils te rendent.

-Et bah.. Vous avez eu chaud dites moi ! Ris-tu.

-Tout ça pour que vous puissiez dormir ensemble... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour notre couple fard... Dit Reiner avec un sourire en coin en roulant grossiÚrement les yeux au ciel.

Avec Reiner, le courant est tout de suite passé entre vous deux, il te surprotÚge un peu durant les entraßnements mais tu sais quand le remettre à sa place, d'ailleurs Annie et Berthold te sont d'une grande aide lorsque tu n'arrives pas à résonner le grand blond, te servant de grand frÚre.

-Vous ne pouvez rien me refuser, vous m'adorez. Te vantes-tu comme Ă  ton habitude.

-Ne pense pas ĂȘtre privilĂ©giĂšre. Gronde Reiner, tentant de dĂ©gonfler ton Ă©go, en vain.

-Ne le suis-je pas ? Demandes-tu avec des yeux doux en sa direction, lui faisant détourner le regard et fait sourire Berthold face à ton petit cinéma.

-Peut-ĂȘtre un peu. Avoue Marco en souriant dans votre direction, tu prends un sourire franchement fiĂšre d'ĂȘtre leur petite favorite. Tu allais parler mais Jean te coupe de nouveau.

-Berthold fait taire ta copine, elle braille trop. Se plaint-il sous ton regard dédaigneux.

-Va dans tes Ă©curies, toi. Craches-tu toujours avec le mĂȘme regard.

Jean te fait un doigt d'honneur alors que tu fais mine d'ĂȘtre choquĂ©e. Avant que tu puisses rĂ©pondre, Berthold t'embrasse doucement les lĂšvres. Tu rĂ©ponds au baisĂ© et pose dĂ©licatement tes doigts sur la ligne de sa mĂąchoire. Tu demandes l'accĂšs Ă  sa bouche mais il coupe le baisĂ© avec un fin sourire. Tu fronces les sourcils, frustrĂ©e qu'il ait coupĂ© votre embrassade si tĂŽt. Il montre d'un lĂ©ger mouvement de tĂȘte les garçons qui faisaient soit des grimaces  soit des regards envieux. Qu'est-ce qu'ils donneraient pour avoir le droit Ă  l'amour d'une femme eux aussi...

Tu rougis furieusement avant de cacher ton visage dans son cou, le faisant légÚrement rire, un son rare et que tu aimes tout particuliÚrement entendre.

-Bon.. Je vous laisse, Ă©vitez de prendre tout e lit. Dit Reiner en se redressant.

-Mmh... Fredonnes-tu en signe d'accord.

-Pas de problĂšme. Acquiesce Berthold.

Le grand blond s'apprĂȘte Ă  descendre du lit mais tu le retiens par la manche de son t-shirt aprĂšs t'ĂȘtre rapidement redressĂ©. Tu viens lui embrassĂ© doucement la joue, le surprenant un peu et le faisant rougir? Il te regarde sans comprendre ton geste, attendant surement des explications.

-Merci d'avoir organisé ça. Lui dis-tu finalement avec un sourire pleins de gratitude.

-Comment tu... Demande-t-il toujours plus surprit.

-Toi et Berthold ĂȘtes si prĂ©visible... Je n'ai qu'Ă  vous observer pour pouvoir comprendre vos intentions. Expliques-tu.

-Tout nos intentions ? Questionne-t-il avec un air bien trop sérieux qui te prend au dépourvu le temps d'une seconde.

-Il ne faut pas abuser non plus, je ne suis pas devin Reiner ! J'ai beau ĂȘtre merveilleuse et pleine de qualitĂ© je ne possĂšde pas la clairvoyance ! Ris-tu alors en fermant les yeux, un grand sourire amusĂ© aux lĂšvres.

Il te regarde peu amusĂ© mais tout de mĂȘme rassurĂ©. Il dĂ©vit ses yeux sur Berthold quelques secondes, ce dernier a un regard dur posĂ© sur lui, le dĂ©fendant de faire quoique ce soit Ă  la jeune femme qu'il aime. Reiner finit par te sourire et t'Ă©bouriffe affectueusement tes cheveux [C/C].

-On a de la chance d'avoir rencontré quelqu'un comme toi. Conclut-il avec un sourire bienveillant, bien que tu puisses déceler un lueur ressemblant un une pointe de regret dans ses yeux ambré.

-Ah.. Bien sûr que vous avez de la chance ! Je suis la meilleure des meilleures ! Taquines-tu.

Il te fait une pichenette en plein milieu du front, te faisant geindre de douleur. Il sourit et descend afin de te laisser tranquillement avec ton amoureux. Ce dernier se redresse et attrape tes hanches avant de vous faire basculer en arriĂšre. Il inverse vos positions et commence Ă  t'embrasser amoureusement, te surprenant un peu mais tu rĂ©ponds tout de mĂȘme. Passant tes petites mains sur sa nuque avant de mĂȘler tes fins doigts dans ses cheveux brun. Il demande alors l'accĂšs Ă  ta bouche mais tu coupes Ă  ton tour le baisĂ©. Il te regarde perdu et frustrĂ©.

-A charge de revanche, mon cher ! Ris-tu de sa mine déconfite.

-[T/P]... Soupire-t-il avec un air suppliant, ne voulant absolument pas jouer ce soir.

-Dit moi, tu as l'air trÚs impatient ce soir, toi... Souris-tu, heureusement de lui avoir manqué autant qu'il t'est manqué à toi.

-Ne dit pas n'importe quoi... Répond-il en rougissant et en détournant le regard.

Tu remarques alors que quelque chose Ă  l'air de le tracasser, mais tu ne trouves pas ce que cela pourrait ĂȘtre.

-He.. Est-ce que ça va ? Demandes-tu en gardant quand mĂȘme le sourire.

-Est-ce que tu as réfléchi à quelles brigades tu veux faire partie ? Demande-t-il alors de but en blanc.

Tu soupires en fermant les yeux avant de les rouvrir et de voir son visage inquiet sur lequel tu poses tes mains. Tu caresses ses pommettes de tes pouces.

-Je ne serai sĂ»rement pas dans les dix premiers donc oublie l'idĂ©e que je vienne avec toi aux brigades spĂ©ciales. Le bataillon d'exploration est tentant et dangereux, je ne suis pas sĂ»re d'y faire long feu. Mais d'un autre cĂŽtĂ© dans la garnison, je risque fortement de me retrouver face au colossal ou au cuirassĂ©, et bien qu'ils soient fascinant de loin, je prĂ©fĂšre rester de loin. Ils ne feraient qu'une boucher de moi.... Soupires-tu, ne dĂ©crochant pad de son regard. Conclusion : Je ne sais pas, peu importe oĂč je vais j'y mourrai sĂ»rement dans d'atroce condition.

Berthold garde le silence quelques secondes avant de te regarder sérieusement.

-Choisi la garnison. Exige-t-il alors, te surprenant.

Tu ris un peu sous son regard plus que sérieux et inquiet.

-Hey... Qu'est-ce que tu me fais lĂ  ? Demandes-tu avec un sourire rassurant.

-Rien... Je.. Bafouille-t-il, ne sachant comment t'expliquer la situation réelle.

-Déstresse chéri, je suis là et je resterai là pour toujours. Le rassure tu alors que tu le voyais dans la détresse.

Il se calme alors avant de plonger ses yeux bleu-vert dans les tiens.

-Je t'aime [T/P] [T/N]. Avoue-t-il alors te faisant sourire.

-Je t'aime aussi Berthold Hoover, de tout mon cƓur. L'embrasses-tu.

Vous vous embrassez de nouveau, plus intensément que vous n'en aviez l'habitude, vous transmettant tous les sentiments que vous portez à l'égard de l'autre.

Reiner vous observe avec une certaine tristesse, sachant que quand le moment de prĂ©sentera ces deux lĂ  n'auront plus aucune chance d'ĂȘtre rĂ©unni... Cette idĂ©e ne le rend pas plus heureux que Berthold ou Annie. A vrai dire, il aimait beaucoup le [C/C], la considĂ©rant comme un vĂ©ritable membre de sa famille, comme la sƓur qu'il n'a jamais pu avoir. Il n'a ni envie de la trahir, ni envie de lui arracher Berthold mais il sait qu'elle souffrira un jour ou l'autre Ă  cause d'eux.

-Je suis content pour [T/P] et Berthold. DĂ©clare alors Eren en jetant un coup d'Ɠil en leur direction.

-Oui, ils se sont bien trouvé ces deux là. Ajoute Armin avec un sourire.

-Mouais... Ronchonne Jean, se prenant un sourire moqueur de la part de Connie.

-Oh allez, Jean ! Tire pas cette tĂȘte tu trouveras la femme de ta vie toi aussi ! Le taquine le rasĂ©.

-Si tu crois que je suis jaloux de Berthold, tu te trompes. Je me demande juste comment une p'tite chieuse comme elle a pu trouver quelqu'un... Avec son caractĂšre de merde en plus... Continue-t-il Ă  rĂąler sous les sourires moqueurs de ses amis.

-Elle est juste plus méritante que nous. Dit alors Eren.

-Oui, elle n'est pas trĂšs forte mais elle fait toujours en sorte de venir en aide Ă  ceux qui en ont le besoin. Elle maintient un lien fort entre chacun de nous, empĂȘchant les tensions et favorisant notre esprit d'Ă©quipe ainsi que notre survie. Sans elle, je ne sais pas si on serait aussi soudĂ©. Explique le petit blond aux yeux bleu, recevant des acquiescements de la part des autres.

-Nous le serions sûrement mais pas autant. La vérité est qu'on a tous un but commun : la protéger et lui assurer sa survie, c'est ce qui fait que l'on soit si soudé. Déclare Reiner.

-Tu as raison. Malgré son fort caractÚre, elle se montre aussi douce et fragile face à une force brute... Confirme Marco.

-Il faut la faire rentrer dans les brigades spéciales. Affirme Jean avec un air sérieux.

-Mais elle n'a pas le niveau. Et puis je doute qu'elle irait lĂ  bas mĂȘme en ayant le choix. Coupe Armin avec un air soucieux.

-Pourquoi pas la Garnison ? Propose le jeune homme aux tĂąches de rousseur.

-C'est ce que Berthold et moi souhaitons qu'elle choisisse. Mais personne n'aura un Ɠil sur elle. Je n'aime pas ça. Avoue Reiner.

-Alors je l'a forcerai à entrer dans les brigades spéciales avec Marco et moi. On pourra surveiller et prendre soin de cette chieuse. S'exclame Jean avant de reprendre. Et puis, Berthold veut aussi intégrer les brigades spéciales n'est-ce pas ?

-Oui, c'est ce qu'il dit. Acquiesce Marco. Dans ce cas, il faut l'entraĂźner pour qu'elle puisse atteindre les dix premiers. Finit-il avec un sourire.

-Ouais, on a du boulot.. Soupire Reiner.

-Men parle pas, j'en ai dĂ©jĂ  mal au crĂąne. Elle va ĂȘtre insupportable ! Se plaint dĂ©jĂ  Jean alors qu'Eren acquiesce Ă  ses dires.

Le petit groupe de garçon continu à parler tranquillement à l'autre bout du dortoir sans dérangé le couple qui se cùline tendrement.

Tu caresses doucement le cuire chevelu du gĂ©ant alors que celui-ci Ă  la tĂȘte posĂ© contre ta poitrine, ses grands bras enroulĂ©s autour de ton ventre. Il lutte contre le sommeil qui prend peu Ă  peu possession de lui, les caresses ne l'aidant absolument pas dans sa bataille. Avec ses derniĂšres forces, il se redresse pour t'embrasser amoureusement, mĂȘlant sa langue Ă  la tienne. Vous finissez par vous sĂ©parer Ă  bout de souffle. Tu lui embrasses finalement tendrement le front alors qu'il ferme les yeux, profitant de l'instant. Lorsque tu dĂ©taches tes lĂšvres de lui, il plonge son visage dans ton cou, embrassant celui-ci de baisĂ©s plus ou moins appuyĂ©s. Il finit par trouver une zone plus sensible, te faisant murmurer son prĂ©nom. Un peu honteuse, tu pinces ta lĂšvre infĂ©rieur afin d'Ă©viter de nouveau son incontrĂŽlĂ©. Le brun se met alors Ă  sucer cette mĂȘme parcelle de peau, faisant apparaĂźtre une marque allant du rouge au violet. Tu tires lĂ©gĂšrement sur ses mĂšches de cheveux, le faisant grogner contre toi. Tu ne pus retenir quelques soupires d'aise franchir tes lĂšvres. Lorsqu'il s'Ă©loigne pour observer son Ɠuvre, tu reprends un semblant de souffle normal. Il te sourit avant de t'embrasser le front et de se reposer contre ta poitrine, soupirant de bonheur et ne pensant Ă  rien d'autre qu'au moment prĂ©sent, bercer par les battement de ton cƓur. Tu lui embrasse une derniĂšre fois le sommet de son crĂąne avant de reprendre tes cajoleries.

-Bonne nuit, fait de jolie rĂȘve... Lui murmures-tu alors que tu le vois s'endormir.

○○○

Bonus :

Le lendemain matin au mess lors du petit dĂ©jeuner, tu rejoins la table des filles avec un sourire rayonnant. Christa et Sasha t'offrent un grand sourire alors qu'Ymir te fait un clin d'Ɠil, Mikasa, elle, se contente de faire un sourire plus discret. Tu t'installes aux cĂŽtĂ©s d'Annie qui te regarde avec insistance.

-Hum.. Annie , Tout va bien ? Demandes-tu un peu mal Ă  l'aise.

-Plus jamais je ne me déguise en toi pour te couvrir. Dit-elle froidement.

-Attend... Toi aussi tu étais dans le coup ?! C'est toi qui a prit ma place ?! T'exclames-tu avec une surprise non dissimulée.

-J'ai perdu Ă  la courte paille. Explique briĂšvement.

Tu acquiesce avec un peu de surprise. C'est vrai que tu es proche de la blonde, d'ailleurs tu es bien la seule... Mais tu ne t'attendais pas Ă  ce qu'elle fasse cela pour toi. Tu finis par la remercier avec un grand sourire. Alors que tu te mets Ă  manger tout en discutant joyeusement avec Christa, Sasha et Ymir, tu ne vois pas Annie, Reiner et Berthold Ă©changer un sourire avant de t'observer avec bienveillance.

Tu plaisais énormément aux trois guerriers, bien plus qu'ils ne l'auraient voulu.

Fin.


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5 months ago
Annie , Pieck , Levi & Reiner

Annie , Pieck , Levi & Reiner


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1 year ago
Attack On Titan Actor AU :

Attack on Titan Actor AU :

(Part1)

Season 1/2

Mikasa was the first one to be casted.

Armin and Historia are in real life cousin, Hisu is the oldest .

Eren is the youngest of the 104th cast.

Jean and Reiner go to the same college and are roomates.

Connie does his own stunts .

Grisha Jaeger is an Oscar winner actor.

Bertholdt is singer and his song went viral after the series premier.

Ymir and Marco are child actors, they have multiple succeful movies were they started separately.

Erwin and Carla Jaeger are married and have a daughter.

Hange used to be a model and a famous brand ambassador.

Levi doesn't get the hype behind his character, but is grateful for the fans.

Annie and Sasha are both olympics athlethes and participated in the Youth Olympics, Sasha won a gold medal in Archery and Annie was 4th in gymnastic.

Petra is actually the directors daughter.

Mike Zacharias is the best horse rider of all the cast.

Part 2?


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1 year ago
Attack On Titan Actor AU

Attack on Titan Actor AU

(part 2)

(season 2-3-4)

Pixis only auditioned because his kids are fans of manga, but he immediatly fell in love with the character.

Hannes once came on set drunk and filmed his scene. The directors only noticed while editing the scenes.

Freida Reiss is Miss Universe 2014.

Kenny writes gives good luck letters to the actors who are going to film along side him.

Keith Sadies loves to prank the 104th training corps during filming.

Rod Reiss is a comedian, he played his first dramatic role in the series.

Zeke tried to grow his beard for the role but ended up wearing a postiche.

Porco first auditioned to play Eren but the casting director found him more fit for his current role.

Pieck shares fanfics and fanarts on her stories. She finds it cute.

Gabi has a YouTube channel where she learns to play the guitar.

Falco is the biggest fanboy of the cast.

Floch used to be an extra but then got his role because the fans liked his performance.

Willy Tybur directed the last ep of season 3

Nicollo has a TikTok where he prepare food and gives cooking advice.

Onyankopon was an MMA fighter, he got into acting after an injury that left him unable to fight again.

All the flashbacks scenes were filmed at the beginning to avoid recasting younger characters and bring authenticity.


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11 months ago

Attack on Titan Actor AU (part 3)

Attack On Titan Actor AU (part 3)

Levi likes to take pictures on set, he has a folder for each cast members. He shares them on his socials during their birthdays.

Bertholdt keeps a notebook on him, he writes down songs ideas.

There was a rumour about Eren and Mikasa dating, the actors both denied it when Eren posted a picture of him with Mikasa's boyfriend.

Armin has a major in archeology.

When the shooting ends very late Jean likes to cheer on his castmates to bring some energy.

Sasha and Reiner often send food trucks to everyone on set to thank them for their hard work.

Historia makes origamies in her trailer and gives it to the cast.

Erwin adopted his horse after finishing his part on the series.

Connie is the best at keeping a serious face during filming.

Hange hides snacks on set so that she could eat them between takes.

Ymir cried so much during filming her final scene, they had to stop shooting so that she calms down.

Pieck forget her lines a lot when filming with Zeke because she finds him intimidating.

Yelena's real voice is really soft she just aggravate it for the character.

Zeke teenage crush was Hange, he was very honored to share screen with her. Hange in return teases him a lot about this info.

After his performance, Marco got a lot of job offers, but he decided to quite acting and become a doctor.

Annie cried when she watched the finale episode.


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6 months ago
Attack On Titan Actor AU

Attack on Titan Actor AU

(part 4) with spoilers

All the guys (the 104th ) used to have a crush on Sasha when they started filming season 1.

Eren owns a motorcycle he calls it Tatakae.

Jean got a lot of attention from fashion brands. Everyone wants him to be their next ambassador.

Mikasa cut her own hair during the first seasons to make it look more geniune.

Levi and Historia have a lot of deleted scenes.

Armin studied Erwin's acting a lot so he could copy him after his onscreen death.

Reiner Is a huge NFL fan he made a tradition in which every superbowl final he takes few cast mates to watch the game with him.

The actors loves to coordinates their press tour outfit.

The cast groupchat is called "Slay on Titans".

Bertholdt quit acting after his character died, he wanted to concentrate on music but he still hangs out with them on set.

Annie loves to braid the girls hair and sometimes Eren tags in.

Hange actor often spoils the audience in their interview but they do it subtly.

Only Zeke and Eren knew how the series ends. Because they filmed multiple endings to avoid spoilers.

Mikasa accidently punched Armin's nose in one of their scenes together.

Sasha and Nicollo flirt all the time.

The baby who played Historia's child is Erwin's own daughter.

Jean guest started in a music video.

Connie has acrophobia (fear of heights) he fainted the first time he tried the ODM.

Annie is vegan.

Pieck voices the cart titan she admitted doing that voice to scare her little brothers at first.

Porco is a huge gamer, he has won many championship.


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8 months ago

repression, and the guilt it causes when you're not with me - an annie x reader drabble

Feelings are easily ignored one would think, especially if the aggravator is locked away in a stone made of clear crystal. When you can see her but not touch her, talk to her but get no reply, overthinking sets in and guilt surrounding your relationship with Annie is embedded to to bone.

Repression, And The Guilt It Causes When You're Not With Me - An Annie X Reader Drabble

The stone floors all look the same. From room to room, the bumps and lines are all in the exact same place. Dents and crevasses paint a marble of patterns on the walls, almost identical to the room next to it, and the one opposite. Even if we move into a different room, they all look the same. The beaten, worn stone turns more battered the more you’re in the room. Like your mere presence is enough to make stone regret and cave into itself. Like your mere presence causes confident stone to pull away and retreat into dirt.

The guard that frequents this room pays attention to more than just her stone. She hears, she listens. Every word spoken is captured by the guard’s ear. She knows everything, she sees it too. Their watchful eyes burn into your back when you visit her. You can’t say more than simple ‘hellos’ and ‘I’ve been good’. Their sorrow glares and the glances full of regret and shame. Every movement shows what you really are. Every shift, every stance - it gives you away. Shows your true self to them and they can’t help but look away, filled with disgust. They ought to have you removed from her care.

All of the lingering feelings. All of the thoughts about her that never leave no matter how much you focus on other things. It all leads back to her. Your stupid Annie. So, you vowed to leave them in this room. You vowed to not think about her unless you were with her. You vowed to not smell her hair, to hear her laugh, to say her name. Unless you were with her.

Her lifeless expression seen under the stone never wavered. Her face never moved, not an inch. Her shoulders tense and her legs stiff. For even she knows what you are. You never hid it with her. Despite her mundane choice of words and her nonchalant attitude, the shame and guilt vanished in the moments you were with her. Those perpetual, repulsive thoughts seemingly disappeared when you were with her. She let you get it all out, “Repressing feelings is never a good thing”, she would say, to try and coax more feelings out of you. It’s ironic now. All that talk about being free and letting go, and she went and suppressed herself inside a stone. One that can’t be broken. At least she’s free from all of your guilt.

But the guilt and shame hunts you down. The knowledge of your moments together, all your hushed sighs and the rustled bed sheets, always found you. Like a poltergeist with a nasty attachment to you. It pushed doors open, the creaks reminding you of the bed bouncing. It opens windows and the wind blowing in howls like a subtle moan. You’ll never escape it.

And everyone knows. They see it clear as day. They whisper about you in the dining hall. They gossip and glare as you walk past, heading for the cold, dark room. Where else would you be? No other room holds your heart inside it. You follow the everlasting hallways to her room. The abstract patterns in the stone ways start to bend and form words. Even the walls know. They’ve seen everything. Every touch, every fuck, and every stare, even those not reciprocated. The words etched into the walls bore back at you. They scream, they holler, they shout. They’ve seen the guilt and heard every repressed thought of her. No act of reconciliation goes unnoticed. Every attempt to get her out of that god forsaken stone.

You come to the door, but it’s broken open, hinges barely holding onto the wall. The room sits empty, no guard to listen in on all your intimate and private moments with her. But where is she? Her stone lays shattered across the floor. The pieces scattered everywhere and the stone concrete floors are drenched in wet slime. The feeling disgusts you, it’s all too familiar for you to handle. Yet, she’s gone. But you mustn't think of where she could be. She isn’t with you anymore, so you cannot think of her. You vowed not to.

Down the hall, in yet another dull, gray room, shouts emerge and thuds vibrate the floor. You don’t bother to deal with that issue. You’re too preoccupied with the dilemma you face currently. For you are forever guilty without her. The room that encompassed your safety has vanished. Those repulsive thoughts flood back to you, clouding every corner of your mind. The shame can finally hunt you down and finish the job off. Footsteps come chasing towards you. They grow louder and louder as they inch closer. Finally, you’ll meet your end and be set free. A life without her is not one worth living. The walls spill out all of your secrets. The people gossip and whisper. The guilt grows louder.

Every inch of the building shakes. The walls, the floor, the door - everything. It rattles and rumbles. The walls finally start to crumble and break. The dirt seeps from the corners and the beams start to fall from the ceiling and crash onto the floor. You back out of the room. All your secrets being left in that room, setting you free. Freedom finds you, not guilt. The room has fallen and all your tainted vows fall with it. It’s all destroyed. You’re free to think. About her. About it all. Free to think about every touch, every fuck, and every reciprocated stare. And the smell of her hair, her laugh, and her name, Annie.

You hope, you dream that you get to be with her. To finally be free of the shackles you put yourself in. that room is no more and neither are your perpetual, repulsive thoughts. Simple eye contact is all you need. All the remnants of shame, guilt, and fear have since left you. You touch, you hold, you feel. She grabs you and you feel weightless. Her arms wrap around your neck and you two collapse to the floor. Her existence is enough to make you feel free.


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