
Wattpad ~ Lowen-Colleen Instagram ~ lowen_colleen_ Masterlist : https://at.tumblr.com/moon-girls-stories/masterlist/hd1tygpgrgqi
25 posts
~ Call Of Duty ~ William Pierson X F!Reader
~ Call Of Duty ~ William Pierson X F!Reader

Point de vue omniscient :
-William ?
Casey entre doucement dans la chambre du môtel de Paris. Refermant la porte derrière elle, elle observe la pièce sombre, remarquant alors la forme assise de son ami et collègue au sol, aux pieds du lit.
-William ?
Un gémissement rauque lui répond enfin, elle marche silencieusement vers lui, s’accroupissant alors qu’elle pose une main sur l’une de ses larges épaules.
-William…
Elle le secoue légèrement avant qu’elle ne s’approche plus près. L’odeur pestilentielle de l’alcool et la cigarette lui monte au nez, lui faisant monter la bile alors qu’elle hisse son nez de dégoût.
-Merde mais t’as encore bu comme un trou… ! Se plaint-elle en chuchotant.
Elle lui retire sa casquette de soldat, la jetant sur un fauteuil abîmé par le temps avant d’essayer de lui retirer sa veste kaki. Il grogne des choses incompréhensibles, comme un enfant que l’on dérange dans son sommeil. A cela, elle ne peut s’empêcher de sourire légèrement. Qu’est-ce qu’il peut être groggy.
-Casey…
-Je suis là William, file moi un coup de main pour te coucher.
-Laisse-moi… Sors de ma chambre..Maintenant.
-William, au lit. C’est un ordre de ton lieutenant.
Le grand homme se plaint à nouveau, murmurant cette fois-ci des insultes. Il la laisse lui retirer ses nombreuses couches de vêtement supérieur jusqu’à ce qu’il soit torse nu. Elle l’aide à se relever avant de l’allonger lourdement sur le matelas. Elle s’éloigne de lui, se dirigeant dans la petite salle de bain. Elle fouille un peu, trouvant une petite cuve et une serviette. Elle remplit la cuvette d’eau chaude et prend du savon de marseille, emmenant le tout vers le lit.
-Tu bois trop. Lui a-t-elle reproché.
-Peu importe… Tu t’en moques bien, non ?
-Imbécile. Ce n’est pas parce que nous sommes séparés que je me fiche de ton sort.
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je m’occupes de toi, tu ressembles à une épave.
Elle trempe la petite serviette dans l’eau savonnée avant de commencer à le laver silencieusement. William ne dit plus rien, acceptant seulement la situation bien que son cœur tambourinant dans sa poitrine n'ait jamais été aussi douloureux depuis leur séparation après Kasserine. Il sait pourquoi elle l’a laissé seul, il en est pleinement conscient, il sait que c’est de sa faute. Il l’a blessé, l’a effrayé, l’a fait pleurer. Il sait qu’il n’est plus méritant de son cœur. Mais pour l’amour de dieu qu’est-ce qu’il aimerait embrasser sa peau une dernière fois. Presque un an de séparation et la douleur est toujours aussi lancinante.
-Arrête de boire autant Will, c’est mauvais.
-Va te coucher. Arrête de faire ça, tu es mon lieutenant, rien d’autre. Va-t-en. Soupire-t-il pris d’un mal de tête.
Il se tourne finalement dans le lit, lui tournant le dos alors qu’il tente vainement de retrouver son sommeil. Victoria l’observe longuement, une bataille intérieure faisant rage dans sa tête. Elle continue finalement de le nettoyé, gardant le silence le plus complet.Elle sait qu’il ne pense pas ce qu’il dit, elle a bien remarqué tous les regards qu’ils jettent aux autres soldats, ses yeux inquiet se posant sur elle à chaque fois qu’elle s’éloigne de son peloton. Ou encore toutes les fois où il la suit, couvrant ses arrières alors que sa place est à côté de ses hommes. Mais une petite voix dans sa tête ne peut s’empêcher de lui chuchoter que cela fait longtemps depuis qu’ils se sont séparés. William n’est pas quelqu’un de sentimentale, il ne l’a jamais vraiment été, sauf avec elle lors de quelques instants de tendresse. Mais même ces moments ont été rares hors de la maison. Et s’il avait vraiment fini par passer à autre chose ?
-Toi aussi tu me manques… Lui murmure-t-elle alors qu’elle passe le tissu mouillé sur son épaule, frottant doucement pour enlever la crasse incrustée dans sa peau après tant de temps dans la saleté et la poussière.
Pierson ne lui répond, ouvrant simplement les paupières, comme si cela l’empêcherait de s’endormir et de rater la déclaration de son ex-compagne. Voyant qu’il ne réagit pas, elle se ravise et ramasse ce qu’elle a sorti. Elle se penche tout de même sur son corps allongé, embrassant tendrement sa tempe. Elle dépose la cuve sur une commode et s’apprête à quitter la chambre. Mais avant de passer la porte, elle se tourne vers le lit, le distinguant difficilement dans l’obscurité.
-J’étais en colère contre toi. Et j’avais peur. Tu n’étais plus l’homme que je connaissais, je ne pouvais pas non plus t’aider aux vues de mon état après Kasserine… Et j’ai encore peur, j’ai peur de te perdre dans cette guerre, physiquement ou psychologiquement. Je suis partie mais je… Je ressens toujours ces sensations débiles près de toi. Je… Je te souhaite bonne nuit, repose toi maintenant…
Elle ferme finalement la porte, s’appuyant dessus, totalement remué par toute ces émotions et ces sentiments de merde. Quant à William, il s’allonge lentement sur son dos, observant silencieusement le plafond abîmé. Il expire bruyamment l’air de ses poumons, réfléchissant à comment ils pourraient réparer leur relation, ensemble. La nuit allait être longue.
Le Lendemain :
Victoria rejoint les troupes plus tard que d’habitude, elle n’a presque pas dormi, son esprit tournant autour de ses souvenirs de sa relation avec le sergent. Ce qui fait qu’elle est plutôt irritable. Zussman et Daniels saluent joyeusement leur supérieur mais elle ne répond que par un grognement
-Elle a l’air aussi bien grattée que Pierson. Fait remarquer Zussman avec un sourire moqueur.
Daniels lui donne un regard préventif mais il est déjà trop tard, le lieutenant est d’hors et déjà de retour face au soldat d'origine allemande.
-Quelque chose à dire soldat ?
-Non, lieutenant.
-Je suis pourtant sûre de t’avoir entendu parler dans mon dos. Tu te crois malin peut-être ? Continue de faire le clown Zussman et tu finiras avec une balle entre les deux yeux, c’est bien clair ?
-Toutes mes excuses, lieutenant. Ça ne se reproduira plus.
Turner et Collins arrivent alors au niveau des trois militaires. Lizzie échangent un regard inquiet de la situation à Daniels alors que Zussman reste concentré sur Victoria. Turner pose une main sur l’épaule de sa sœur d’arme, l’éloignant du son soldat.
-Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Un problème en particulier ?
-Apprend à tes cabots d’arrêter de japper sur mon passage.
-Hé, surveille tes mots, Casey.
-Quand t’auras éduqué tes hommes, on pourra reparler de mes paroles.
Elle quitte simplement la rue, s'engouffrant dans une brasserie pour prendre un petit déjeuner léger qui consiste à du pain et un café bien fort. Turner la suit, laissant Collins s’occuper des garçons. Il s’installe à côté d’elle au bar, posant une main sur son avant bras.
-Quelque chose s’est passé depuis hier ? Tu es partie tôt des festivités, tout le monde te cherchait.
-Je n’ai pas la tête à la fête, c’est tout.
-Qu’est-ce qu’il se passe, Vic ? Insiste-t-il, sa voix laissant entrevoir toute l'inquiétude qu’il lui porte et cela ne fait qu’énerver la jeune militaire.
Elle n’est pas encore contre lui, non loin de là, mais elle est en colère contre elle. Putain de sentiments. Comment cela se fait même qu’elle n’arrive même pas à en faire abstraction en temps de guerre ? Ces gens ont besoin qu’ils les aident à récupérer leur pays et elle ne fait que penser à cet abruti au cœur de pierre.
-Hey, parle moi, je vois que quelque chose ne va pas. C’est avec Pierson ? Il t’a dit quelque chose hier soir ?
-Il était saoule, Joseph. Complètement à l’ouest, comme après Kasserine. Lui a-t-elle murmuré, posant son front dans sa paume de main alors qu’elle le regarde avec des yeux fatigués.
Turner humidifie ses lèvres, il sait bien que son bras droit boit bien trop pour son propre bien mais que pouvait-il y faire ? Il n’était pas le meilleur placé pour lui dire quoi que ce soit. C’est en partie à cause de lui s’il en est là à présent.
-Nos hommes meurent tous les jours, Joseph, et je ne peux pas m’empêcher de penser au vide que je ressentirai en moi si je le perdais lui.
-C’est un homme fort, très fort. Tu le sais, il s’en sort toujours d’une manière où d’une autre. A bien ou à mal, il s’en sort toujours en un seul morceau.
-Je suis fatiguée de tout ça, Joseph. Je ne sais pas si je pourrais en supporter plus.
Il l’observe longuement, restant silencieux. Elle ne parle plus de sa situation avec Pierson, il le sait, elle parle de la guerre, de la vie et de la mort qu’elle voit se perdre de jours en jours. Lui aussi, il la voit mais il a une approche plus positive à tout cela, d'autant plus qu’il a Collins et Pierson qui l’ont toujours épauler lorsqu’ils baissent les bras. Mais jamais elle n’a osé baisser les bras, jamais elle n’a voulu abandonner si rapidement. C’est vrai qu’elle ne se repose pas souvent sur eux, elle encaisse et gère les choses à sa manière. C’est toujours mieux que de tout noyé dans l’alcool comme le fait Pierson mais ce n’est pas plus sain pour son esprit.
Il exerce une pression sur son épaule, lui accordant un faible sourire d’encouragement avant de se lever de son tabouret.
-Tiens bon, nous allons y arriver.
-Je sais que vous allez le faire, ce n’est pas le problème. C’est que je ne suis plus sûre de pouvoir tenir le rythme.
-Non, nous allons le faire, nous allons repartir tous les quatres chez nous.
Il ne lui laisse pas le temps de répondre qu’il quitte la brasserie, recherchant activement Pierson. Il est en pleine conversation avec Collins. Il se dirige vers ses deux amis, l’air grave à présent collé à son visage. Lorsque Pierson le voit il fronce les sourcils, Collins fait de même.
-Comment elle va ? Demande Lizzie.
-Elle m’inquiète. William, tu restes ici avec elle, empêche la de quitter Paris.
-Quoi ? Hé, on a pas le temps pour des conneries pareilles, on a une guerre à gagner. S’enquit directement le sergent, maintenant mécontent.
-C’est un ordre ! Je ne la laisserai pas se faire volontairement tuée !
-Elle n'abandonnera pas comme ça, Joseph ! Ne sois pas stupide, elle nous fait juste une petite baisse de morale, elle va vite reprendre du poil de la bête et tout sera réglé !
Turner pince ses lèvres, ce type peut vraiment être aveugle quand il s’y met. Elizabeth s’interpose alors entre les deux hommes qui se font face, si un regard pouvait tuer, ils seraient sûrement déjà morts tous les deux.
-Je peux rester avec elle, si tu veux.
-Non, toi tu viens avec moi. Victoria et William vont rester ici et régler leurs problèmes. Je veux que vous soyez totalement opérationnelle, à 100% de vos capacité de réflexion et motivée pour écraser ces allemands !
-Hey, comment ça je dois rester ici ? Intervient alors la voix de Victoria, les faisant tous se tourner vers elle.
-C’est un ordre. Obéissez bon sang. Râle Turner avant de partir, appelant Collins pour qu’elle le suive.
William et Victoria se font face, un mélange de gêne et d’agacement se fait ressentir en eux. Victoria est la première à détourner le regard, partant direction du môtel, rejoignant à grandes enjambées la pièce qui leur sert de bureau. Le sergent la suit à la trace, ignorant royalement les soldats se mettant sur son passage pour lui demander les ordres. Il ferme à clé la porte derrière lui, voulant avoir une réelle conversation avec son ex-petite-amie.
-Qu’est-ce que tu veux, William ?
-Turner nous a parlé.
-Le contraire m’aurait étonné de lui. Et tu vas faire quoi ? Me botter le cul parce que je suis fatiguée de toute cette merde ?
-C’est la première option qui m’est venue en tête.
-Et la seconde ?
-Te traîner dans cette guerre avec moi de force s’il le faut.
-Que de tendresse avec toi, c’est incroyable. Ironise-t-elle en sortant des cartes mais William les ramasse aussitôt déposer sur la grande table, les mettant derrière lui sur une commode.
-Qu’est-ce que tu fais ? Demande-t-elle alors qu’il s’approche d’elle à pas confiant.
-Je refuse que tu te laisses mourir. Tu n’as pas le droit d’abandonner maintenant.
Il pose une main sur l’arrière de sa tête, l’autre sur ses côtes avant qu’ils ne reposent leurs fronts l’un contre l’autre. Il reste là, silencieux pendant quelques secondes, les yeux fermés alors qu’il réfléchit aux bons mots à employer. Vic le détaille autant que la situation le lui permet, finissant par poser ses mains sur son torse tonique.
-Ca me tuerait de te savoir morte. Murmure-t-il, comme si les mots lui arrachait la mâchoire.
-C’est juste que…
-Tu comprends ce que j'essaie de te dire, Vic ? Je mourrai pour toi s’il le fallait. Je me prendrai une ribambelle de balles dans le corps et pourtant je continuerai de me relever jusqu’à ce que tu sois en sécurité. Je ferai tout pour toi.
-Arrête de boire, reste connecter à la réalité, reste avec moi William.
William reste silencieux un long moment, l’attirant simplement contre lui dans une étreinte serré. Il hume l’odeur propre de ses cheveux bruns, content de pouvoir la reprendre dans ses bras.
-Ok, je vais moins boire.
-A partir de quand ?
-Dès maintenant si tu me promets de ne pas abandonner.
-Je te le promets.
-Bien… Soupire-t-il à présent rassuré puis il se sépare d’elle. Reprenons le travail. Turner veut qu’on reste ici, très bien mais qu’est-ce qu’on fait ?
-Les bosh se sont peut être retirés de la zone dans laquelle on est mais il doit en rester à certains endroits, bien planqués.
-Ok, alors mettons en place des patrouilles. Il faut vérifier chaques rues, chaques maison, chaques voitures, chaques lieux abandonnés. Il faut tout passer au crible.
-Faisons ça, il te reste qui de ton escouade ? Turner est parti avec tout le monde ?
-Ouais, il les a tous embarqués. Mais il nous reste ton escouade.
-Ok tu pars avec mon escouade.
-Et toi ?
-Je vais partir avec d’autres hommes, t'inquiète pas.
-A tes ordres. Sois prudente.
-Va chercher Crowley, Vivian et Rousseau. C’est à leur tour de nous filer un coup de main.
-Très bien lieutenant.
William s’éloigne alors, déverrouillant la porte avant de quitter la pièce à la recherche des membres de la résistance française. Victoria s’appuit contre la table, la tête tombant vers le sol alors qu’elle fait au mieux pour gérer le flot de larmes qui monte en elle. Elle peut tenir, elle peut supporter cette guerre, ce sera la dernière de sa carrière dans l’armée sûrement mais elle va le faire. C’est son devoir envers sa famille et sa patrie mais aussi en l’honneur de son frère, le premier sergent, Jules Casey, décédé trop tôt à Kasserine l’an précédent. Elle doit le faire en sa mémoire. Et pour William, elle ne serait rien sans lui mais il en est de même pour lui, il serait à nouveau seul sans elle. Non, elle ne pouvait définitivement pas tous les abandonner et partir car elle est fatiguée, ils ont besoin de sa présence. Et elle allait être là pour eux, elle va les épauler, les guider et les rendre fiers. C'est pourquoi elle s’est engagée avant tout autre chose.
-
delulu-insomiac34 liked this · 1 year ago
-
isabellesoares101 liked this · 1 year ago
-
sweetcherry45 liked this · 1 year ago
-
moon-girls-stories liked this · 2 years ago
More Posts from Moon-girls-stories
Masterlist
Créé le : 25/10/2022
Dernière publication : 26/01/2023
Nombre d’oeuvre : 8
Call Of Duty WW2
IMAGINES
Sgt. William Pierson
Reste avec nous, soldat.
Une femme en 1945 (X Sgt. William Pierson) :
Des retrouvailles tendues.
Besoin l’un de l’autre.
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Criminal Mind
IMAGINES
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Hunger Games
IMAGINES
°° Finnick Odair °°
La fille du président :
Leur rencontre.
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
CITATION
N°1
The Vampire Diarie / The Originals
IMAGINES
La famille Mikaelson :
La Mikaelson d’adoption
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Shadow And Bones
IMAGINES
Asteria Fell-Starkov (X Darkling)
Oublier les liens du sang.
Ma protégée.
Mon petit ange.
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Shadowhunters
IMAGINES
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Avatar
IMAGINES
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
Les Chroniques de Bridgerton
IMAGINES
FLUFF
SMUT
ANGST
MAD
~ Shadow And Bones ~ Aleksander Morozova X F!Reader

Point de vue omniscient :
Lace se tient droite comme un piqué en face du Général Kirigan, la jeune mère a les mains jointe sur son ventre plat, regardant le Général droit dans les yeux.
-Que puis-je faire pour vous, Madame Fell ? Lui demande-t-il avec un fin sourire.
-Je suis venue vous parler de Asteria.
Kirigan se redresse et bombe le torse sans même y faire attention. Il incline la tête sur le côté et fronce les sourcils. Il s’approche de la bourgeoise résidant à la cour du château.
-Moi et mon mari voudrions l’adopter. Elle serait une Fell. Avec un bel avenir.
-Hors de question. Avec moi, elle est en sécurité.
-Tous les enfants la craignent pour ses dons et se moquent d’elle. Tout le monde à la cour sait qu’elle est une orpheline du bas peuple. Général, si vous voulez vraiment son bien, vous acceptez mon offre.
-Quelle offre ? Je n’y gagne rien. Repartez.
Il lui tourne le dos et se poste à une fenêtre, regardant justement Asteria jouer dehors avec quelques gardes qu’il a envoyés pour la divertir. Lace le rejoint, observant la petite fille de huit ans rire aux éclats. Un fin sourire s’installe sur les lèvres pulpeuse de la jeune femme contrastant avec l’air préoccupé du Général.
-Elle se mariera à l’un des fils du roi et de la reine. Elle pourra devenir reine de Ravka.
Il détourne son regard sur elle, la regardant perplexe à ce qu’elle dit. Elle lui offre un sourire d’autant plus grand.
-Je ne vous l’arrache pas, Général. Tout le monde sait que vous voyez bien plus en elle qu’une simple élève. Mais avec mon mari et moi, elle aura un climat familial et stable. Elle grandira dans l’amour et la protection d’une famille soudée et bienveillante.
-Vous faites cela juste pour que votre famille accède au trône.
-Ne voulez-vous pas qu’elle obtienne du pouvoir ?
-Là n’est pas mon but principal.
-Vraiment ? Alors les cours intensif et entraînements répétitifs ne sont pas installés pour la faire gagner en pouvoir ?
-J’agis pour son bien à elle et pour tous les grisha.
Sa voix se fait menaçante et ses yeux s’assombrissent de colère. Il la fusille du regard quelques secondes avant de lui tourner le dos, rangeant quelques papiers et cartes traînant sur sa grande table centrale.
-Je pense aussi à elle. Elle sera choyée comme ma descendante directe et les autres enfants et adultes de la cour se verront être forcés de la respecter. Je lui sauve la vie en lui donnant la possibilité d’être la future reine de Ravka. Pensez-y.
Un silence se fait dans les appartements du Darkling.
-Quittez mes appartements.
-Je vous laisse réfléchir, j’attendrai votre réponse.
Elle quitte les appartements du Darkling la tête haute et l'air assurée, sachant qu’elle a insinué le doute en lui.
Plus tard dans la journée, Aleksander vient chercher la petite Asteria dans sa chambre alors que les dames de chambre venaient tout juste de finir de la préparer pour aller au lit. En le voyant entrer tel une furie, elles se courbent en avant puis sortent en souhaitant bonne nuit à Asteria. Aleksander se met assis sur le matelas de qualité de la petite, l’invitant la seconde d’après à s’installer auprès de lui.
-Que penses-tu de la famille Fell ?
-Les garçons sont gentils. Mais un peu bête quand même.
-Et Madame Fell ?
-Lace est très gentille. Elle m’aide à cueillir des fleurs des fois.
-Et son mari, que penses-tu de lui ? Il a l’air de confiance ?
-Il m’aide avec mes devoirs que l’apparat me donne. Mais ne le dit pas, c’est un secret !
Aleksander lui offre un sourire qu’elle lui rend. Elle prend soudainement sa main et le tire avec elle au lit. Il se laisse faire et s’allonge sur les draps alors qu’elle passe sous la couette, se rapprochant de lui. Il l’entoure d’un bras, profitant de sa proximité avec la petite fille.
-Tu aimerais vivre comme Madame Fell ?
-Je veux devenir comme elle. Belle, gentille et influente. Tu la trouves belle, toi ?
-Elle est jolie, oui. Mais tu deviendras plus jolie qu’elle.
-Avec des belles robes et des bijoux qui brillent ?
Elle relève ses yeux noirs pétillants de joie vers le visage du Darkling plus fermé. Il remarque alors cette étincelle de bonheur et d’espoir dans les yeux de sa protégée. Il lui sourit avant de soupirer en haussant les épaules.
-Rien n'est impossible pour nous.
-Parce qu’on est trop fort !
-Parce qu’on est trop fort, c’est ça.
-Et quand je serai la plus forte, tous ceux qui auront été méchants avec nous seront punis.
Elle baille longuement avant de s’enfoncer un peu plus dans les bras du Général. Ce dernier a les yeux baissés sur elle avant de soupirer et de se retirer lentement, faisant grogner la petite.
-Je vais te laisser dormir petit ange. Fait de beaux rêves.
Il lui embrasse le front mais avant qu’il puisse se relever elle retient sa kefta noir.
-Reste avec moi cette nuit. S’il te plaît.
Il la jauge du regard un instant avant d’acquiescer à sa demande. Il retire ses bottes et quelques uns de ses vêtements, gardant un simple haut noir ample et son pantalon de la même couleur. Il se met sous les draps, Asteria venant directement se coller à lui. Il enroule ses bras autour d’elle et pose son menton sur le sommet du crâne de la gamine.
Le lendemain matin à sept heure lorsque les dames de chambre entrent dans la chambre d’Asteria elles sont toutes aussi surprises les uns que les autres de voir le Darkling dormir à point fermé avec la petite dans ses bras, se serrant l’un contre l’autre comme s’ils avaient peur d’être arraché de leur étreinte. Celle qui dirige le petit groupe de jeune femme leur fait signe de rester silencieuse et de quitter la pièce.
SCREAM - Billy Loomis X Reader. [PART 2]
![SCREAM - Billy Loomis X Reader. [PART 2]](https://64.media.tumblr.com/1f2a55818e09df03197c09572606eb91/5f39e0150d36fb46-bb/s250x400/cad16e216d7ed703eaeb2b8c9bd153da620a652d.gif)
Maddie est appuyée contre son sommier en bois clair, un livre entre ses petites mains alors que ses yeux parcours lentement les lignes. Une légère musique flotte dans l'espace de sa chambre alors qu'elle profite du calme ambiant pour faire ce qu'elle aime le plus au monde; lire dans le plus grand des calmes, pouvoir s'échapper de sa vie le temps d'un instant et vivre la vie d'une autre personne.
Cet havre de paix ne dure pas bien longtemps lorsqu'elle entend son frère jumeau accompagné de son meilleur ami monté les marches de l'escaliers de la maison quatre par quatre, très certainement. Elle lève la tête de son livre pour regarder le couloir , voyant passer Mawen à vitesse grand V très rapidement suivi de Stu qui semblait le pourchasser pour quelque chose -de probablement stupide- pense-t-elle. Alors qu'elle allait retournée son attention sur son roman une autre silhouette entre dans son champs de vision. Le nouvel ami de Stu, elle n'a jamais su son nom. Après tout elle le fuyait dès qu'elle le pouvait, mal à l'aise dès qu'il est autour d'elle. Mais cette fois-ci c'est différent, elle est chez elle, l'un des seuls lieux dans lesquels elle peut se permettre d'être elle-même et où elle ne butte sur chaque mots qu'elle veut prononcer.
Il s'arrête au pas de la porte de sa chambre, tournant lentement son regard vers elle avant de lui adresser un léger mouvement de main en guise de salutation. D'abords elle lui sourit, lui rendant son signe de main avant de voir un peu de sang séché sur son visage. Elle perd alors son sourire, son imagination travaillant à créer de nombreux scénarios sur le comment ce jeune homme a bien pu se blesser.
C'est un bruit de verre cassé qui la ramené à la réalité. Elle se lève directement dans son lit et dépasse le châtain alors qu'elle marche rapidement en direction de la salle de bain.
-Mawen ! Stu !
Les deux garçons se figent instantanément lorsqu'ils entendent la voix ferme mais inquiète de Maddie. Cette dernière arrive rapidement dans la salle de bain, Billy juste derrière elle, fronçant les sourcils quant au bouquant qu'on fait ses deux amis. Deux verre cassés, cela aurait pu être pire, ils auraient pu briser le miroir.
-Sortez d'ici immédiatement !
Les deux détalent comme des lapins, bousculant Billy au passage alors qu'ils se rejettent la faute l'un sur l'autre en se hurlant dessus. Maddie les observe partir, dépitée par leur comportement, avant de se baisser et de ramasser les morceaux de verre à la main. Billy se baisse à sn tour et commence à l'aider avant que ses yeux ne s'arrête sur un morceau de verre plus imposant que les autres. Ses doigts l'attrape lentement, ses yeux ne le quittant pas d'une seconde alors qu'une tension gênante s'installe dans le petit espace. Maddie, sentant cette nouvelle atmosphère, lève discrètement les yeux en sa direction, l'observant dissocier alors que toute sa concentration est tournée vers ce verre coupant. Elle l'observe silencieusement le serrer plus fort dans sa main et par un élan de courage mais surtout de peur elle le lui arrache de la main, le coupant au passage. Les yeux sombres du garçon se redresse directement sur elle mais elle n'en démord pas, fronçant les sourcils, s'apprêtant à le gronder comme elle le fait avec son frère et Stu.
-Non mais ça va pas, tu pourrais te blesser ! Sort d'ici toi aussi et attend moi dans le salon. Maintenant !
Il ne sait pas pourquoi mais quelque chose s'est coupé en lui, il n'était pas en colère ni même frustré que cette fille, une sombre inconnue, ose lui parler de la sorte. Parce qu'il y a quelque chose de chaleureux dans ses yeux, une forme d'inquiétude que jamais personne ne lui a porté avant. Un voile d'instinct maternelle, c'est cela qu'il trouve dans ses yeux gris, une protection féminine qu'il n'a jamais pu connaître à cause de cette satanée Sydney Prescott.
Billy se met sur ses jambes et sort dans la salle de bain. Maddie l'observe de sa position accroupie au sol jusqu'à ce qu'elle le remarque descendre les escaliers. Elle lève rapidement les yeux au ciel en soupirant. S'occuper constamment de Mawen est déjà fatiguant mais voilà qu'au lieu d'avoir un seul frère qu'elle doit surveiller, elle a l'impression d'en avoir maintenant trois. Heureusement que Javen est à présent mature et qu'il sait s'occuper de lui même.
Après avoir nettoyer les bêtises des deux affreux elle fait un détour par sa chambre pour éteindre la musique avant de descendre les escaliers. Elle le remarque alors appuyer contre le dossier du canapé, observant silencieusement sa main saignante. Lorsqu'il l'entend s'approcher, il relève son beau visage en sa direction, observant se petite forme fouiller un placard dans la cuisine avant de revenir avec une trousse de secours blanche.
-A nous deux. Vient ici.
Il s'exécute avec un hochement de tête, s'asseyant sur une chaise à la table à manger. Maddie lui prend sa main entre les sienne et l'ouvre complètement, observant la plaie qu'elle lui a causé.
-Tu dissocie souvent comme ça ?
Il cligne des yeux plusieurs fois, son silence alerte Maddie qui le regarde pour la première fois dans les yeux. Les deux restent le souffle coupé quelques secondes avant que la jeune femme ne se reprenne, les joues rougissantes alors qu'elle se concentre de nouveau sur la plaie, appliquant de l'alcool. Billy siffle, essayant de retirer sa main mais Maddie le retient contre elle avec un premier regard d'avertissement. Puis elle sourit, amusée de sa petite réaction à la douleur.
-Un gros bébé, comme Mawen et Stu. Je commence à comprendre pourquoi vous êtes tous les trois aussi inséparable. déclare-t-elle avec un brin d'humour dans sa voix.
-Je ne dissocie pas souvent, je crois ne jamais l'avoir fait avant.
Maddie acquiesce lentement, lui lançant un regard compréhensif avant de poser des compresses sur la blessure.
-Je le fais souvent pour ma part. C'est une étrange sensation, n'est-ce pas ?
Billy l'observe sourire gentiment alors qu'elle reste concentré à bander sa main à présent. Il s'humifie les lèvres, ses yeux n'arrivant pas à quitté son visage.
-Je m'appelle Billy.
Maddie relève instantanément la tête, c'est vrai, elle ne connaissait toujours pas son prénom. Elle se senti rougir alors qu'un sourire gênée prend place sur ses lèvres pulpeuses.
-Fait plus attention à toi la prochaine fois Billy.
-Tu seras là pour me soigner. N'est-ce pas, Maddie ?
Il penche la tête sur le côté alors que Maddie plisse les yeux en le regardant. Leur moment est coupé par Stu et Mawen arrivant comme deux enfants prêt à se faire gronder par leur mère. C'est d'ailleurs ce qui va leur arriver. Maddie les remarque directement entrer dans la pièce, ses sourcils se froncent instantanément alors que ses poings viennent se déposer sur ses hanches.
-On est désolé pour les verres Mad. commence Stu mais Maddie lève la main en l'air, le faisant taire.
-Billy s'est blessé à cause de vos bêtises, présentez vos excuses.
Les deux adolescents regardent Billy d'un même mouvement de tête avant de se regarder l'un l'autre. Maddie n'attend pas, arrivant près d'eux, elle leur attrape le lobe de l'oreille et les oblige à les suivre. Les deux garçons se plaignent de la douleur aigus qu'ils ressentent en plus d'être dans une position totalement humiliante, eux plié en deux pour subvenir au besoin de la petite taille de Maddie. Ils sont maintenant devant Billy, pliés en deux en faisant la grimace.
-Présentez vos excuses.
-On est désolé mec. finit par lâcher Stu, il est aussitôt libéré.
-Mawen.
Le jeune homme se renfrogne encore plus lorsqu'il remarque le sourire amusé de Billy. De son côté Stu s'est considérablement éloigné du "petit chaton" en se tenant l'oreille de manière dramatique.
-Mon intention n'était pas de te blesser, Billy. Désolé.
Mawen est à son tour relâcher. Les deux terreurs échangent un regard avant de s'installer tranquillement sur la canapé, décidant d'un commun accord silencieux de se comporté calmement le temps que ce petit chaton sauvage ne soit plus dans les parages.
SCREAM - Billy Loomis X Reader.
Résumé : Maddie est originaire de la petite ville tranquille de Woodsboro. Ayant déménagé pour le travail de son père il y a plusieurs années, elle revient en ville pour ses dernières années d'école. Elle qui pensait retrouver ses amis d'enfance et pouvoir s'éloigner des drames familiaux...
¤ ¤ ¤
Mawen saute à peine de la voiture de son aîné qu'il court déjà en direction de ses amis d'enfance avec qui il avait réussi à reprendre contact quelques mois plus tôt. En revanche Maddie n'avait pas prit autant d'avance, Sydney et Tatum sont bien les deux seules à avoir entretenue le contact avec elle et cela malgré ses longs moments d'absences.
-Allez Mags, tout tes amis doivent t'attendre.
Elle tourne ses yeux vert d'eau vers son grand frère, effrayée de poser ne serait-ce qu'un seul pied en dehors de la voiture. Javen l'observe droit dans les yeux, impuissant face à la mine déconfite de sa petite soeur. Elle qui avait pourtant réussi à prendre confiance en elle après de longues années, quelques semaines ont suffit à détruire tout leur travail.
-Peut-être puis-je rester un jour de plus à la maison ?
-Je ne pense pas que cela soit possible. ricane-t-il alors qu'ils lui montrent quelque chose se passant derrière elle.
Mawen revenant fièrement avec Stu, son meilleur ami de toujours depuis au moins la maternelle. Les deux garçons sont déjà accroché l'un à l'autre, Stu arbore un sourire illuminant tut autant que son frère jumeau. Maddie se tourne alors directement vers Javen avec un regard suppliant, presque les larmes aux yeux.
-S'il te plaît ramène à la maison, je t'en prie... Javen, je ferais tout ce que tu veux, promis.
-Je crains qu'il soit trop tard petite chose. Les affreux sont là, allez dehors. Maintenant.
Maddie n'a pas le temps de riposter que sa portière s'ouvre lui faisant pousser un petit cri de surprise alors que des grandes mains la kidnappe de la voiture de son frère. Elle pousse de toute ses forces pour que son "kidnappeur" la lâche enfin, ce qu'il finit par faire bien qu'il garde toujours ce sourire de cinglé sur son visage.
-Salut Maddie !
-Salut.
-Eh beh dit donc, où est passé notre jolie fille souriante ?
-Où est Tatum ?
La brune cherche quelques secondes son amie d'enfance, voulant désespérément quitter l'entrée de l'école et se cacher dans les toilettes.
-Pas là aujourd'hui. Sydney non plus d'ailleurs. Aujourd'hui tu restes avec nous ! ricane Stu avec une joie communicative -du moins avec Mawen-.
-Stu, je te confie ma petite sœur, je te fais confiance mec. parle Javen à travers la vitre à présent ouverte.
Stu se baisse pour saluer l'aîné de la fratrie. Il lui adresse un signe de main avec un grand sourire, visiblement heureux de le revoir lui aussi.
-Tout va rouler comme sur des roulettes mon pote !
-Bonne journée les gamins, à ce soir.
-A ce soir frangin. Salut Mawen avec un sourire alors que Maddie lui adresse un faible signe de main, manifestement bien moins enjouée à l'idée de passer ce premier jours de cours avec son frère et son meilleur ami fou.
Alors que Javen quitte le devant du lycée un autre jeune arrive au même moment. Stu saute sur le trottoir avant de passer un bras autour du jeune homme, l'attirant comme un bourru vers les jumeaux.
-Mon pote, je te présente Mawen, mon meilleur ami depuis que je suis tout petit. Et sa jumelle, Maddie. Mignonne hein ?
-Parle un peu mieux de ma sœur, grand charmeur. parle Mawen malgré son sourire malicieux.
Maddie roule des yeux, réajustant son sac sur son épaule alors qu'elle passe à côté des garçons, préférant finalement rester seuls plutôt qu'avec ces deux cinglés du ciboulot. Elle se souvient parfaitement de duo abominable que forme son jumeau et Stu, deux diablotins inarrêtable. Et maintenant qu'ils sont grands ? Elle n'ose imaginée.
-Eh, tu vas où comme ça ? demande Mawen, sa voix soudainement plus ferme.
Maddie se tourne vers son frère, les sourcils froncés. Dieu qu'elle peut paraître timide mais face à son frère ? Une autre personne est là.
-Ca va, il n'y a rien à craindre ici. Tranquille Max.
-Rien ? Un malade habillé en fantôme tue des gens, tu ferais bien de rester près des garçons et moi.
-Genre tu penses qu'un tueur peut s'intéresser à moi ? On vient d'arriver Max...
-Il n'a pas tord. tente Stu avec un fin sourire sur les lèvres.
Maddie le toise plusieurs secondes, le faisant d'autant plus sourire. Il la retrouve bien là dans ce regard, son fort caractère bien cachée derrière sa façade de mouton sans défense.
-Les tueurs ne tuent pas au hasard, Mawen.
Elle remarque directement les yeux du nouvel ami de Stu se braquer sur elle, lui donnant des frissons désagréable. Elle tient son regard quelques secondes avant de le détourner, une sensation bizarre fait rage dans tout son corps.
-Tu parles comme si tu connaissais le sujet. finit par lâcher le garçon châtain.
-Je... Pardon. bafouille-t-elle rapidement en prenant ses jambes à son cou.
Enfin s'était sans compter sur Stu qui la rejoint à grande enjambée, passant son long bras autour de ses frêles épaules. La différence de taille entre les deux adolescent en est presque comique.
Mawen les observes quelques longues secondes avec un fin sourire sur les lèvres. Puis il dirige ses yeux bleu-vert vers Billy. A la différence de sa sœur, lui connaît déjà le jeune homme. Stu les avait déjà présenté via un appel vidéo sur l'ordinateur. C'est alors qu'il sourit presque de la même manière exagérer de Stu. Billy le remarque et le regarde en retour, son visage exprimant toute sa confusion face à l'aire surexcité du garçon à côté de lui.
-Maddie veut devenir criminologue.
-Elle est fan des tueurs en série ?
-Pas fan, fasciné je dirai. C'est... son petit côté sombre à elle. sourit-il en finissant sa phrase.
Il n'attend pas que Billy ne lui réponde, il court déjà dans la direction où sont partis son meilleur ami et sa sœur jumelle. C'est pour cela qu'il ne capte pas le regard sombre dans les yeux de Billy, ni son sourire énigmatique.