Lecture - Tumblr Posts
Friends!
Now is as good a time as any to listen to these lectures and become a better writer. Don’t waste your time with webinars and expensive courses, this is all you need. Go and be a writer!
Petits oiseaux / Yôko Ogawa

Deux frères liés par une relation d'amour fraternel, de complicité, et de tendresse vivent ensemble leur passion commune pour les oiseaux.
L'ainé parle la langue pawpaw, langage unique, inspiré du chant des oiseaux, et seul son cadet le comprend. Il vit paisiblement dans l'oubli de soi, et l'observation silencieuse des petits oiseaux de la volière d'un jardin d'enfants.
Le cadet travaille à l'entretien d'une résidence pour les invité.es d'une grande entreprise, et prend soin de son frère, avec lequel il partage une vie routinière agréable et rassurante. Puis, il continue sa vie seul, une fois son frère décédé, dans le souvenir de sa mémoire et le soin des petits oiseaux qu'il aimait tant. Le monde extérieur ne le comprend pas, et menace parfois sa fragile tranquillité. Mais, toujours le "monsieur aux petits oiseaux" parvient à retrouver la joie dans les petits plaisirs simples, uniquement accessibles aux gens sensibles et discrets.
L'écriture de ce roman est douce, sans fioriture, ni effet littéraire tapageur. La traduction est si proche du japonais que la musicalité de cette langue transparait encore dans les dialogues, ou dans certains rejets de l’action à la fin de la phrase.
Une bulle de sérénité et de délicatesse nous enveloppe à sa lecture.
Merci à l'autrice, Yôko Ogawa, pour ce très bon moment. Merci à la traductrice Rose-Marie Makino-Fayolle.
Je ne considère plus les oiseaux de la même façon depuis cette lecture.
“il songeait aux oiseaux migrateurs qui volaient, guidés par des secrets que les hommes ne pouvaient comprendre. L’endroit qu’ils cherchaient à atteindre était inaccessible, même s’ils se préparaient avec le plus grand soin. Ils migraient vers cet endroit lointain sans aucune hésitation, sans se plaindre ni ménager leur vie.”
Nuit de la lecture
Mes insomnies reconnues
Comme une fête
- Mathilde Fauve
My version of Asleep by the Smiths
Teach me to sleep
Teach me to sleep
I'm bored and I
I want to go to bed
Teach me to sleep
Teach me to sleep
And then leave me alone
Don't try to ask me a question
I really won't know
Don't threaten to throw me out
I want you to know
Deep in the cell of my heart
I will feel so glad to go
Teach me to sleep
Teach me to sleep
I don't want to wake up
In your class anymore
Ignore me
Ignore me
I don't want to wake up
In your class anymore
Don't feel bad for me
I want you to know
Deep in the cell of my heart
I know you want to bore
There is another teacher
There is a better teacher
Well, there must be
Well, there must be
Well, there must be
Well, there must be
Well...
Bye bye
Bye bye
Bye...
Dedicated to all my lovely teachers who know the best lullabies.
¿Sabías que antiguamente la gente creía que si te dormías con la luz de la luna en la frente, depertabas loco? De ahí procede la palabra lunático.
La Historia del Loco/John Katzenbach.

Page 6 chapter one
(Here’s another page, click on it for better quality!)
Bronwen: you expect to be a mage when you can’t even be on time?”
Yumiku; s-sorry..”
Bronwen: being a mage ISNT easy.”
Yumiku: I know...”
Dionasia: Bronwen give the kid a break your acting “unprofessional.”
Bronwen: at least I worked hard to be top mage.”
Crimson: sorry to interrupt but your making him nervous, we should start his testing now shouldn’t we?”
Bronwen: fine...-“
Yumiku in his head: thank gosh”
about to go to a lecture that is notorious for making me fall asleep. i already feel tired. i went to get an iced black coffee to see if i could counter the tiredness. probably not, but i remain hopeful
Another lecture!!!
Archaeology Of Tattoos And Skin Art February 5, 2022 @ 1:00 pm - 2:00 pm CST https://www.archaeological.org/event/archaeology-of-tattoos-and-skin-art/ Aaron Deter-Wolf is a Prehistoric Archaeologist with the Tennessee Division of Archaeology in Nashville, and for the past decade has been a leading researcher in developing the archaeological study of tattooing. For over 5,000 years, tattooing has been an important practice among societies around the world. Ancient and historical cultures used tattooed symbols and rituals surrounding the tattooing process to demonstrate status, capture and direct spiritual forces, treat ailments, and to formulate and maintain identity. Please sign in by 12:50 PM (Central Standard Time as the lecture start promptly at 1 PM).
Ay, mi loco y primer amor: Me acostumbré a tantas cosas de vos. Me acostumbré a que no tuvieras tiempo; me acostumbré a tu falta de interés; me acostumbré a ponerte siempre primero (grave error); me acostumbré a esperarte; y lo peor de todo me acostumbre a tus besos y a tu caricias. Me acostumbré a tenerte. Pero siempre llega ese momento en que una piensa “¿todo esto valdrá la pena?” e intenta salir adelante sola. Demostrar q hay otras personas en el mundo y que su universo no gira en torno a alguien. Y ahi es donde uno se pierde. Buscando caricias en otras camas y buscando amor donde sabe que nunca lo habrá, por una simple razón su corazón está en otro lado. A pesar de saberse imposible de lograrlo una lo intenta con todas sus fuerzas. Agota los recursos. Empieza a aceptar halagos de un hombre y empieza a verlo especial de alguna manera. Deja q la toque por encima de la ropa, luego las manos de aquel se escabullen debajo de su remera, y se siente… extraño. No son las manos que ella esperaba. O mas bien que su cuerpo y sus sentidos esperaban. Deja que le bese los labios, pero tampoco es ese sabor que su lengua solía disfrutar. Nada es aquello que una vez solía tener. Y eso sólo empeoraba las cosas porque hacia desear más aquello de lo que ella intentaba desprenderse. Fue ahí que se dio cuenta que no quería que la tocaran otras manos y que no queria q la besara otra boca que no fuera del primer hombre que amo. Que no sirve de nada buscar refugio en alguien más y que es pura mierda que un clavo saca a otro. Porque si tu corazón no quiere despedirse, así sea la peor basura, no lo vas a lograr. Pero a pesar de todo ese amor, tambien comprendió que aunque fuese dificil debía alejarse. Porque ¿quién merece que la quieran a medias? Nadie. Y ella se sentia lo suficientemente mujer para ser amada completa. ¿Cómo termina esta historia? Ella nunca volvió a encontrar alguien que se pareciera a su primer y loco amor, pero se volvió fuerte, independiente, con uns gran lección en la vida: No podemos elegir a quien amar, pero sí cómo queremos que sea nuestra vida. No sirve de nada vivir cegada por amor, porque justo allí, es donde una se olvida de vivir.💔

Voyage littéraire en Bretagne
“On n'avait d'autre ambition que celle de chercher quelque coin de ciel pur, floconné de nuages enroulés, ou de découvrir au revers d'une roche blanche, caché sous les houx et les chênes, assis entre le fleuve et la colline, un de ces pauvres petits villages comme on en rencontre encore, avec des maisons en bois, de la vigne qui monte aux murs, du linge qui sèche sur la haie et des vaches à l'abreuvoir.”
“Nous allions à l'aventure par les champs et par les grèves” : un voyage en Bretagne, extraits, Gustave Flaubert et Maxime Du Camp
Voici un autre genre de promenade contemplative, idéale pour les jours de mauvais temps...
C’est un voyage dans la Bretagne du XIXème siècle, telle que les auteurs l’ont vue et ressentie : villes, villages, églises, dolmens, paysages et gens du crus. Ce récit fut pour moi une occupation agréable durant ces derniers jours de pluie, cependant si vous n’aimez pas les longues descriptions : passez votre chemin.

Promenade littéraire dans la brume...
"Je ne m'étais jamais senti aussi seul, ni aussi petit et insignifiant dans l'immensité de la nature ; frappé par l'indifférence absolue de l'eau et du ciel à mon égard, je me laissai aller à des considérations méditatives, voir philosophiques."
La dame en noir, Susan Hill
C’est une promenade dans son imaginaire, où l'on chemine dans un pays plat et marécageux battu par les vents marins. Tantôt le soleil et l'air pur montrent à perte de vue un paysage immense et immobile, tantôt la brume se lève, et ses tentacules recouvrent le paysage d'une nappe inquiétante.
C'est dans cette atmosphère angoissante où l'on voit à peine le bout de ses pieds qu'il est possible d'entendre des sons terrifiants ou de voir des choses effrayantes. Mais est-ce bien réel ou est-ce seulement un tour de son imagination ? Le plus grand danger est-il vraiment la marée qui monte inexorablement jusqu'à recouvrir le chemin ? Où se trouve la frontière entre la terre ferme et le marais ? Entre le réel et l'irréel ?
J’ai personnellement adoré me perdre dans cette brume inquiétante et mystérieuse et je conseille ce livre aux amateurs de fantastique et plus particulièrement aux amateurs d'histoires de fantômes...





Après-midi à la campagne
Le soleil de l'après-midi cogne mais l'air est frais. La journée est tranquille, parsemée d'activités relaxantes : une petite balade pour se dégourdir les jambes, une bonne lecture à la fraîcheur de la terrasse, une petite sieste pendant que Bébé dort et une bûche glacée en guise de goûter…

Voyage littéraire au Groenland
“Dans un sursaut désespéré, il frappa la glace en train de se figer autour de son membre. Mais aussi lourds que fussent ses poings, ils se révélaient impuissants. L'épaisseur translucide était déjà trop dense.”
Qaanaaq, Mo Malø
C’est un polar à l’ambiance glaciale dans lequel on découvre le Groenland, pays au climat rude et inhospitalier, aux côtés d’un enquêteur danois venu prêter main forte aux autorités locales.
Entre le peu de moyens dont dispose la police groenlandaise et la météo impitoyable qui dicte sa loi et ralenti les investigations, l’enquête avance lentement. Mais cela laisse tout le temps nécessaire pour parcourir les rues de la capitale Nuuk, pour se perdre dans le blizzard ou pour découvrir la vie groenlandaise ainsi que la culture et les traditions inuits.
Personnellement, bien que j’ai trouvé l’enquête peu trépidante, ce fût un voyage polaire que j’ai adoré effectuer.

Attente livresque
"Il croyait presque entendre la neige tomber dehors. Il ne l'entendait pas, mais il entendait le silence où elle tombait."
Pour qui sonne le glas, Ernest Hemingway
Ma lecture du moment, où l'on passe près de trois jours à se cacher dans les montagnes espagnoles avec des partisans républicains. Trois jours à attendre, à patienter, qu'une attaque soit déclenchée. Là, on pourra faire sauter un pont.
On attend, on s'occupe comme peut et surtout on essaie de ne pas trop penser aux atrocités qui ont pu être commises durant cette révolution. On surveille le trafic sur le pont, on boit, on mange et on discute. On saute quelques lignes et paragrpahes aussi, histoire de faire avancer tout ça un peu plus vite et de se concentrer sur les passages intéressants...
Heureusement la plume de l'auteur est belle et on profite de quelques belles phrases.

Errances littéraires dans le Montana
Elle pensa au mal qu'on pouvait faire à quelqu'un, un mal parfois incalculable, et puis il y avait aussi le mal qu'on se faisait parfois à soi-même, en s'endurcissant.
La fille du fermier, Jim Harrison
J'ai bien aimé ce recueil de 3 nouvelles et je trouve que la 1ère, La fille du fermier, est particulièrement réussie. Ces récits portent sur 3 personnages solitaires, chacun éprouvant des difficultés à s'intégrer à la société. Malgré cela ils sont en quête d'amour, en recherche de vengeance ou de rédemption et tentent de se construire en dépit de leur solitude et des épreuves qu'ils traversent.
C'est une très bonne nouvelle dont j'ai apprécié la lecture. C'est le portrait de Sarah, une adolescente isolée et solitaire qui tente de se construire seule en dépit de son traumatisme. C'est également une histoire de vengeance, que Sarah considère comme une condition essentielle pour avancer et nfin s'ouvrir au monde.

Cochrane vs Chtulhu, Gilberto Villarroel
Dessiné pendant ma pause et inspiré de ma dernière lecture. Je ne sais pas trop ce que j'en ferai par la suite : faire les ombres au crayon ou le peindre à l'aquarelle ?

Excursions dans les Zones Interdites
"Cette valve doit bien aller quelque part fit frère Huit d'un air malheureux. Je n'ai jamais vu un engin pareil. Je commence à me demander si ce n'est pas une plaisanterie. Cette machine à karaoké semble pleine de saletés. Des vieilles balles de tennis transpercées d'un clou, des pailles à cocktail... Regardez. (Il désigna une souris mécanique sur une petite roue.) Je ne vois pas comment il peut fonctionner! - Moi si, dit Félix McMurdo en souriant. Et en effet, il voyait."
Toute la vérité, Robert Rankin
Ma lecture du moment, très drôle mais pas évidente à suivre !
Se plonger dans ce roman c'est apprendre à nager en plein délire... l'histoire a une logique qui lui est propre, avec des rebondissements plus loufoques les uns que les autres qui arrivent à la pelle et l'humour est très présent, avec beaucoup de références. Je pense que je dois louper une bonne partie des blagues 😅
Ça me rappelle un peu les histoires courtes complètement déjantées et loufoques que j'avais pu écrire dans ma jeunesse quand je m'ennuyais en cours.

Errances dans la folie
"Nous remettions toujours les objets à leur place. Nous faisions le ménage, époussetions les tableaux et les lampes, balayions sous les lits, les tables et les chaises, secouions les tapis mais sans jamais les changer de place; le nécessaire de toilette en écaille de notre mère n'avait jamais bougé d'un millimètre sur la coiffeuse. Les Blackwood avaient toujours habité notre maison et tous avaient été animés d'un même respect de l'ordre; dès qu'une nouvelle épouse entrait dans la famille, ses meubles et ses affaires personnelles trouvaient tout normalement leur place et ainsi notre maison s'était peu à peu enrichie, solidement installée envers et contre tout."
Nous avons toujours vécu au château, Shirley Jackson
Voilà un récit à l'ambiance à la fois dérangeante et mélancolique dans lequel on se perd dans les méandres de la folie, des traumatismes et des suspicions.
On y découvre le quotidien solitaire des Blackwood, une famille décimée par un tragique évènement survenu quelques années auparavant et dont les survivants ont préféré s'isoler du reste du monde.
L'hsitoire étant racontée du point de vue de la plus jeune des filles Blackwood, Mary Katherine dit "Merricat", atteinte de folie, on est plongé dans un univers où rien n'est ce qu'il semble être et faire la part des choses entre le réel et l'irréel devient difficile. De plus l'isolement volontaire de la famille ajouté aux suspicions qui plane sur eux de la part des autres habitants du pays rend cette histoire particulièrement malaisante.
Personnellement j'ai adoré ce roman pour son ambiance, les incertitudes que j'ai eu tout du long de ma lecture et ses personnages attachants.