Posie - Tumblr Posts
Ok so this makes no sense but here are characters from Teen Wolf as quotes from a french poetry book, because I have to know quotes from said french poetry book and none of them are sticking in my head. This whole thing makes no sense feel free to ignore.
Isaac:
L'homme fuit l'asphyxie. L'homme dont l'appétit hors de l'imagination se calfeutre sans finir de s'approvisionner, se délivrera par les mains. (L'Avant-Monde: Argument)
The man flees asphyxiation. The man whose appetite outside of the imagination seals itself off without finishing stocking up, will free himself by the hands. (The Foreworld: Argument)
Stiles:
J'ai rapporté du désespoir un panier si petit, mon amour, qu'on a pu le tresser en osier. (La Compagne du Vannier)
Tout à jamais prit fin. (Le Loriot)
I brought back from despair a basket so small, my love, that it could be woven with wicker. (The Basketmaker's Companion)
Everything ended forever. (The Oriole)
Theo:
Le décolleté diminue les ossements de ton exil, de ton escrime; Tu rends fraîche la servitude qui se dévore le dos; Risée de la nuit, arrête ce charroi lugubre
De voix vitreuses, de départs lapidés.
[...]
Je ne verrai pas tes flancs, ces essaims de faim, se dessécher, s'emplir de ronces; Je ne verrai pas l'empuse te succéder dans ta serre ; Je ne verrai pas l'approche des baladins inquiéter le jour renaissant; Je ne verrai pas la race de notre liberté servilement se suffire. Chimères, nous sommes montés au plateau. [...] L'intime dénouement de l'irréparable. [...] La Femme respire, l'Homme se tient debout. (Le Visage Nuptial)
The neckline diminishes the bones of your exile, of your fencing; You make fresh the servitude that devours its back; Laugh of the night, stop this bleak cartage
Of glassy voices, of stoned departures.
[...] I will not see your sides, these swarms of hunger, dry up, fill with thorns; I will not see the parasite succeed you in your greenhouse; I will not see the approach of the wanderers disturb the renewed day; I will not see the race of our freedom subserviently suffice itself. Chimeras, we went up to the plateau. [...] The intimate outcome of the irremediable. [...] The Woman breathes, the Man stands. (The Bridal Face)
Lydia:
X- Il convient que la poésie soit inséparable du prévisible, mais non encore formulé.
XIII- Fureur et mystère tour à tour le séduisirent et le consumèrent.
XXXII- Le poète ne s'irrite pas de l'extinction hideuse de la mort, mais confiant en son toucher particulier transforme toute chose en laines prolongées.
XLIX- À chaque effondrement des preuves le poète répond par une salve d'avenir.
(Partage Formel)
X- Poetry should be inseparable from the foreseeable, but not yet formulated.
XIII- Fury and mystery one after the other seduced and consumed him.
XXXII- The poet is not irritated by the hideous extinction of death, but confident that his particular touch transforms everything into prolonged wools.
XLIX- At each collapse of the evidence the poet responds with a burst of the future.
(Formal Sharing)
Liam:
40- Discipline, comme tu saignes!
48- Je n'ai pas peur. J'ai seulement le vertige. Il me faut réduire la distance entre l'ennemi et moi.
63- On ne se bat bien que pour les causes qu'on modèle soi-même et avec lesquelles on se brûle en l'identifiant.
92- Tout ce qui a le visage de la colère et n'élève pas la voix.
104- Les yeux seuls sont encore capables de pousser un cri.
219- Brusquement tu te souviens que tu as un visage. Les traits qui en formaient le modelé n'étaient pas tous les traits du chagrin, jadis.
(Les Feuillets d'Hypnos)
40- Discipline, how you bleed!
48- I am not afraid. I only have vertigo. I must close the distance between the enemy and me.
63- We only fight well for the causes that we model ourselves and with which we burn ourselves by identifying it.
92- Anything that has the face of anger and does not raise its voice.
104- Only the eyes are still capable of crying out.
219- Suddenly you remember that you have a face. The features that shaped it were not all the features of grief, before.
(Hypnos' notebooks)
Mason:
83- Le poète, conservateur des infinis visages du vivant. (Feuillets d'Hypnos)
83- The poet, keeper of the infinite faces of the living. (Hypnos' notebooks)
Hayden:
J'étais dans une de ces forêts où le soleil n'a pas accès mais où, la nuit, les étoiles pénètrent pour d'implacables hostilités. (Les Loyaux Adversaires: Pénombre)
I was in one of those forests where the sun does not have access but where, at night, the stars enter for relentless hostilities. (The Loyal Adversaries: Darkness)
Scott:
Glas d'un monde trop aimé, j'entends les monstres qui piétinent sur une terre sans sourire. (Poéme Pulvérisé: Donnerbach Mühle)
La souffrance connaît peu de mots. [...] Songe à la maison parfaite que tu ne verras jamais monter. (J'habite une douleur)
Partout essaime le nouveau mal tolérant. (Pulvérin)
Death knell of a world too loved, I hear the monsters that trample on a land devoid of smile. (Pulverized Poem: Donnerbach Mühle)
Suffering knows few words. [...] Think of the perfect house that you will never see built. (I live in a pain)
The new tolerant evil swarms everywhere. (Pulverized)
Allison:
Rivière trop tôt partie, d'une traite, sans compagnon, Donne aux enfants de mon pays le visage de ta passion. [...] Rivière souvent punie, rivière à l'abandon. [...] Rivière au cœur jamais détruit dans ce monde fou de prison, garde-nous violent et ami des abeilles de l'horizon. (La Fontaine narrative: La Sorgue)
River gone too soon, in one go, without a companion, Give the children of my country the face of your passion. [...] River often punished, river abandoned. [...] River with a heart never destroyed in this crazy world of prison, keep us violent and friend of the bees of the horizon. (The narrative fountain: The Sorgue)
Derek:
Assez creusé, assez miné sa part prochaine. Le pire est dans chacun, en chasseur, dans son flanc. Vous qui n'êtes qu'une pelle que le temps soulève, retournez-vous sur ce que j'aime, qui sanglote à côté de moi, et fracassez-nous, je vous prie, que je meure une bonne fois. (Assez creusé)
Enough dug, enough mined the next part. The worse is in everyone, as a hunter, in their flank. You who are only a shovel lifted by time, turn around on what I love, who sobs beside me, and smash us, I beg you, that I die once and for all. (Enough dug)
Corey:
Dans les rues de la ville il y a mon amour. Peu importe où il va dans le temps divisé. Il n'est plus mon amour, chacun peut lui parler. Il ne se souvient plus; qui au juste l'aima? (Allégeance)
In the streets of the city there is my love. It doesn't matter where he goes in the split time. He is no longer my love, everyone can talk to him. He no longer remembers; who exactly loved him? (Allegiance)
All the quotes are from 'Fureur et Mystère' by René Char btw.
J'adore juste cette photo 🥰
Happy Monday 😁
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Nouveau compte .
Ne me le demande pas
Pourquoi survivre Pourquoi vivre Aimer, être heureux Semble si loin Rêver, Nous somme deux Dans notre coin Que se passe-t-il dans un cœur, Quand il s'éteint? Ou va toute notre rancœur Tout parait vain, Se relever Regarder vers l'avenir Ne me le demand’ pas, Se redresser Je ne le pourrai pas Accabler et en finir, rire ou périr Choisir de vivr’ Les regrets s'estomperont, Les souvenirs tomberons Dans l'oubli Emporté par le vent, Dans le sombre néant Allez en avant Mais pas maintenant, Ne me le demande pas Car je n'y arrive pas . le 18/12/2008
La peur
La peur instinct naturelle Tout comme l'amour et la haine La peur qui déchaîne L'envie de se taire Car qui la comprend vraiment La comprend vraiment Elle surgit Tout est fini Car l'amour est-il plus fort ? Que se désir charnelle Qu'est d'être avec une belle Car sommes-nous assez fort ? Pour résister, Pour s'opposer A la bête noir’ Tout comme le loir Jusqu'à l'instant fatidique Où plus aucune musique Ne nous enchantera Car seras-tu là ? Je t'aime et tu le sais, Mais que peux mon amour Fasse à tant de beauté Qui dit c'est pour toujours ? Qui croit encore que c'est le plus fort Et qu'on s'aimera jusqu'à la mort. La peur d'être trompé L'amour est l'opposé La haine grandit Tout est salit. Plus d'un mois Quel exploit Un doute ? L'entends-tu ? Comprends-tu ? Ce doute. Ce qui fait souffrir Ce qui fait mourir Un être aimé L'âme tant aimé Qui t'idolâtres Et ne te blâmes Le sais-tu ? Le vois-tu ? Tu es le premier Mon amour, le dernier Amour de ma vie Je t'aime à l'infinie Ne me trompe pas, Ne me trahit pas. Car je ne peux m'opposer Aux femmes de toutes beauté. Ressent-tu ma peur ? Et toute l'horreur, Que tu ne m'aimes plus Je ne désire plus L'anonymat Le célibat. Tu m'aimes, Je t'aime.
Pour toi
Pour toi J irai jusqu a la mort Et bien plus encore Pour toi, Je vivrai Pour toi Je mourrai Car je t aime Et moi-même Je t ouvre mon cœur Joffrey mon sauveur Je t aime et j ai peur Qu une de tes ex Reviennent pour toi Cher ange a moi Mais je sais ta chaleur Envers tes deux ex Fais de moi ta femme Car t es déjà mon homme Pour toi, Je ferais tout ce que tu me dis Pour toi, L éternité sera notre ami Pour toi, Je fais taire mes envies Pour toi, Ton plaisir me réjouit Pardonne mes défauts Pardonne tout ces mots Je veux vivre avec toi Ma petit perle moi Pour toi, Je t aime mon roi Pour l éternité.
Mon ange à moi
Mon ange à moi Ai-je le droit ? De t aimer, De rêver A notre avenir Sans espérer souffrir Et être celle que tu espères Car mon ange moi tu as souffert Des affres de l'abandon Et j espère ne pas te faire Ressentit cet abandon Perdre ton temps. En te louant En t'aimant comme une damnée Et je te souhaite que me taire Et ne plus me sentir lâchée Par tes bras puissant Ange si galant Devrai-je me battre ? Pour conserver ton amour Et qu'il existe toujours Devrai-je déjoue ? Les piges de l adversités. Devrai-je me battre ? Tel est ma question Adorable chaton Caractère si bon Et de te garder Pour l éternité Cette poésie est pour toi Amour elle est de moi. Pardonne son manque de beauté Mais tout ce qui est écrit est vrai.
Nos âmes
Nos âmes entrelacés Se sont rencontrés, unis Sur le chemin de la vie Pour ne plus se séparer Dans un même absolu Nos âmes sont résolues, A nous mener à l'extase Loin des violences vaines Qui obscurcissent nos cœurs Ou règnent en maîtr’ la peur Mon amour seras-tu fidèle ? Tout comme les anges dans le ciel Peut se poser l esprit Comme la jalousie. Mais nos âmes elles Se sont rencontres Nos âmes sont belles Pour ne plus se quitter Plus jamais Est-ce vrai ? Mais mon âme est telle Que le doute s évapore Mon âme en est certaine L amour n est pas vaine La tienne que dit-elle ? La réponse est la même ? Elles se sont aussitôt lies Quand elles se sont rencontre Pour s unir, Et s'offrir Sans ruse et mensonge Ni détour d aucun sorte Elles se réfugient Dans nos bras unis Pour ne plus être seules Nous savons ce qu elles veulent Et former qu'une âme T écrit ta femme Plus pur que l amour même Car elles restent les mêmes S aimant pour toujours Et non pour un jour.
L'amour et la mort
Ma promesse Par un soir Nous avons discuté D'une envie discret Désespoir, Que j'avais eut Et ne veux plus Ressentir, Ressurgir, Par un soir Plein d'espoir J'ai ouvert mon cœur A mon âme sœur Mais est-ce évident Toi qu'est mon confident De promettre Se soumettre De te laisser vivre Sereinement De te laisser vivre Ta jeunesse Ma promesse Ta libéré, c'est vrai Mais est-ce la vérité ? N'ai point peur Mon petit’ cœur La vie me parait belle Comme sourire à nouveau La lumiér’ étincelle Pour me montrer ce qui est beau As-tu consciences ? D'exister dans mon cœur De consumer ma peur Je ne souhaite que ton bonheur Avec moi ou non Et c'est ma raison Qui me pousse à vivre Que ta vie soit belle et sans douleur Mon amour, De toujours, Mon ange à moi Je vis pour toi Comment s'avouer ? Quand se sentent partir Mon envie de survivr’ C'est réveillé. Si je n'avais pas vécu Je ne t'aurais connu Je suis prête à souffrir A tout supporter Je suis prête à mourir Pour te libérer Mais ma promesse m'en défend Ma libéré soudainement Tu m'as convaincu Mais m'as –tu vaincu ? Je le pense Car tu avis l'air si sincère Et ce n'est pas des mots en l'air Que j'écris Mém’ fini J'avance. Je ne me tuerai Pour te préserver De la souffrance d'un être disparut L'ultime délivrance d'un être déchue. Même si je ne suis que le tremplin Et que tu es voulu goûter à l'amour Même si ce n'était que pour un jour D'avoir put ouvrir enfin T'es yeux d'un bleu pur Moi qui est l'impur. Moi qui t'aime Ne pense plus à moi Si tu t'aperçois Que je te déçois Je ne pense à moi Je t'adore. Je préfère mourir Que de te voir souffrir. Mais tant que tu vivras Je ne le ferais pas. Cela ne devrai être imposé Par un être qu'on a aimé.
Moi, je t'aime
Moi, je t'aime Et cela pour la vie Moi ,je t'aime Est-ce vraiment finie ? Je ne vis que pour toi Je me mœurs loin de toi O mon ange, Ne te venges Si je t'aime toujours Oublie notre parcours Donne nous une chance Dis-moi ce que tu penses Peux-tu oublier le passé ? Et voir vers l'avenir ? Si tout pouvait être effacé Ensemble pour guérir. Je ne t'oublie pas Je n'aime que toi. Je ne veux que toi Je ne t'oublie pas.
Tant que je ne t'oublie pas
Je profit’ de t'écrire Tant que je ne t'oublie pas Tout est possible Et accessible Quand on y croit Ce poème pour dire Je pens’ encore à toi Parce que j'aimais vivre A tes côtes Et on s'aimait Parce que j'aimais rire Dans tes bras On paria Que rien ne nous séparerait Que personne ne nous briserait Si je devais t'oublier Tu me pardonnerais Serais-tu soulagés Si cela se passerait Personne ne peut le dire Personne ne peut le dire Tant que je ne t'oublie pas Mon espoir ne périra
Frate è questo, non c'è trucco
nella mente è tutto
tha Supreme, Mara Sattei - m12ano
"El Desdichado," by Gerard de Nerval, traduit par moi-meme!!
I am the dark, the widowed, the disconsolate one,
The prince of Aquitaine in the ruined tower.
My only star is dead -- and my lute's constellation
Carries the black sun of melancholy.
In the night of the tomb, oh you who consoled me,
Give me Mount Posillipo and the Italian sea,
And the flower that so pleased my desolate heart,
The tress where the rose and the gravevine entwine.
Am I Amor or Phoebus? Lusignon or Byron?
My forehead is red from the kiss of the queen,
I have dreamt in the grotto where the sirens sing.
Thrice victorious have I crossed the Acheron,
And played turn by turn on Orpheus's lyre
The sighs of the Saints and the cries of the Fée.
The hardest thing about being a writer
is the pile of idea scraps
that never see the light.
I am full of fragments of people,
Fragments of visions of scenes and places,
Pieces of myself and not-myself swirling around in my brain and floating to the surface.
@viridian-goose
Books Die Slowly Within Me
I write the title, you write the poem, reblog I’ll respond :)
Manchmal schaue ich mich geradeaus im Spiegel an und erkenn mich selber nicht.
Also, ich erkenne schon das es ich bin, aber irgendwo zwischen Augen und Spiegel und Gehirn muss da wohl etwas verloren gehen, sodass ich mir selber so fremd vorkomme. Gestern sah ich noch ganz anders aus. War ich nicht hübscher gewesen? Sah ich denn nicht jünger aus?
Ich drehe dann meinen Kopf, und sehe eine familiärität in der Kurve meiner Nase und der Spitze meines Kinnes und das beruhigt mich. Ok, denk ich mir, es ist offensichtlich mein Gesicht, aber was ist denn so anders daran, dass das was gestern normal war mich heute zum stolpern bringt.
Meine Nase sieht gleich aus. Meine Haare haben immer noch die selben Wellen und meine Lippen können sich in den selben krummen Lächeln formen, den ich seit Jahren lächle. Meine Zähne, meine Haut, meine Ohren - nichts verändert. Meine eine Augenbraue ist immernoch nicht dem anderen gleich, und so gehört es sich auch. Die Pickeln von gestern sind auch die Pickeln von heute; ob es ein paar mehr or ein paar weniger sind, fällt mir nicht auf.
Ahh. Die Augen also. Die Augen müssen es sein. Alle meinen doch immer, anhand der Augen einer Person kann man ihnen in die Seele sehen. Doch meine Seele muss wohl heute nicht zuhause sein, weil als ich mich über dem Waschbecken vorlehne und mich näher im Spiegel mustere, starrt mein Spiegelbild blank zurück. In meinen Augen erkenne ich keine Emotion wieder weil ich es nicht gewöhnt bin an meinem eigenen Gesicht Emotionen zuzuordnen, sage ich mir, nichts ist mit dir falsch.
Aber wer bist du überhaupt?
Bist du deine Ohren? Deine Nase, dein Mund? Wirst du in den Augen anderer definiert durch deine Haare, deine Wimpern, dein Kinn? Bist du dann auch deine Fingerspitzen, oder deine Knie? Bist nur dein Gehirn? Bist du die Augen, wohinter sich eine Seele versteckt in der hilflosen Hoffnung du wirst sie nicht suchen? Bist du nur dass, was andere in dir sehen? Ist es denn egal, wie du dich selber fühlst, was du selber siehst?
Wie Existenziell, denk ich mir, und nimm ein Schritt zurück.
Ist doch egal, endscheide ich mich. Soll es doch egal sein, was ich weiß und nicht weiß. Wenn ich doch nicht verstehe, was mit der Information zu tun ist, wenn ich doch selber es nicht verstehe, dann sollte es egal sein, wer im Spiegel zurückschaut.
Vielleicht ist es nicht, dass ich mich heute zum ersten Mal neu sehe, doch nur, dass ich mich heute zum ersten Mal so sehe, wie ich eigentlich gestern war.
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"Quarta scala", "Grazie, lo so"
"So anche questo, grazie, non dica più niente amico
"Da settembre è vuoto però"
Mi ha già visto, lo sa"
Hai lasciato in angoli bui
Pochi oggetti inutili e tuoi
La bottiglia vuota di vino di resina
Comprata in viaggio da noi
Non rimane molto del tuo tempo insieme a me!
Come un libro letto in fretta, io smarrii di te!
Forse il senso giusto, forse qualche cosa in più
Non rimane molto per rimpiangerti di più
Giorni rapidi e strani, parlare in inglese
E quei viaggi insieme noi, le frontiere nell'alba
Sapore di vento e sole addosso a noi
Si fingeva di avere nemmeno una lira
Per vivere di più questa casa da poco
Fu parte del gioco che un giorno ti stancò
Lessi qui sul muro il tuo messaggio, e ancora c'è
Scritto in italiano, "non cercare più di me"
Desolata, inutile ironia, che mi ferì
La mia roba in ordine sul letto, tutta lì
Non sbagliavo, è proprio così
Non mi dice niente star qui
Non c'è proprio l'aria di cari ricordi
Che mi dia bisogno di te
La finestra non aprirò
Con la luce non scoprirò
Contro i muri spazi puliti
Lasciati da qualcosa che non c'è più
Non rimane molto del mio tempo insieme a te!🌇❤️🌹
Cit. "Solo cari ricordi" Pooh✨️
je me noie, je m’étouffe
Je me suis enterrée hier
je ne sais pas pourquoi
je voulais que les ombres s’allongent sur la terre
répondent aux questions
dans leurs nuages sournois
les plaies dénudent ma peau
le cercueil me caresse
me dit qu’il est trop tôt
de noyer l’allégresse
des chapitres brumeux
racontent l’innocence
dansent avec l’inconscience
d’une simple apparence
dans ce cercueil, je meurs
en douceur
en peur
je m’ennuie
© Margaux Emmanuel
Worte finden
Für das was ihr meint
Worte finden
Damit ihr verstanden werdet
Worte finden
Die Verbinden
Worte finden
Zum unterstützen
Worte finden
Zum erklären
Worte finden
Damit wir zusammenfinden
Worte finden
Zum deeskalieren
Worte finden
Damit wir uns nicht in den Haaren liegen
Worte finden